REIMS

Publié le par Baldenberger

La devise de la ville de Reims :"DIEU EN SOIT GARDE" D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or.
La devise de la ville de Reims :"DIEU EN SOIT GARDE" D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or.

La devise de la ville de Reims :"DIEU EN SOIT GARDE" D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or.

Cathédrale Notre-Dame

La cathédrale Notre-Dame de Reims, qui fut le théâtre du baptême de Clovis a été, à partir du XI e siècle, le lieu de la quasi-totalité des sacres des rois de France. La construction de l'édifice gothique actuel a commencé au début du XIII e siècle.

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Reims a été la plus éprouvée par la guerre de 1914 : la ville a subi un bombardement presque continu pendant toute la durée de l’occupation allemande du nord de la France, du 3 septembre 1914 au 5 octobre 1918. Sa cathédrale, sanctuaire des sacres, apparaît ici comme le symbole de la barbarie destructrice de la Grande Guerre. Le bombardement dont elle a été la cible est hautement symbolique de la stratégie militaire allemande dès 1914.

L’incendie qui reste dans la mémoire des Rémois. Vers midi le centre de la ville est arrosé de bombes incendiaires. Vers 15 heures, un obus enflamme l’échafaudage de la tour nord. Un madrier tomba sur l’ange au sourire et lui vaudra d’être décapité. Le feu atteint la merveilleuse charpente de 1485, on l’appelle « la forêt ». Le plomb de la couverture coule par les gargouilles. La paille répandue au sol pour servir de litière aux blessés s’est embrasée. Plusieurs blessés allemands périrent dans cet incendie. Les cloches de la tour nord se sont écrasées au sol. Vers 17 h 30, il ne restait que des ruines fumantes. Il faudra attendre 1938, pour retrouver une cathédrale reconstruite, sauf qu’une partie de la statuaire restera à jamais disparue. Le grand architecte Henri Deneux aura l’excellente idée de remplacer la charpente en bois par des éléments en béton armé.

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L'Ange au Sourire, dénommé aussi Sourire de Reims, est une statue sculptée vers 1240. Cette statue se trouve à gauche du portail nord de la façade occidentale de la cathédrale de Reims.

Emission en 1956 d’un timbre à l’occasion du jumelage des villes de Reims et de Florence avec « L’Ange au Sourire » et « Le Printemps de Botticelli ». En arrière-plan, la cathédrale de Reims et le Palais de la Signoria à Florence.

Emission en 1956 d’un timbre à l’occasion du jumelage des villes de Reims et de Florence avec « L’Ange au Sourire » et « Le Printemps de Botticelli ». En arrière-plan, la cathédrale de Reims et le Palais de la Signoria à Florence.

Eglise Saint-Jacques

L'église Saint-Jacques est, après la basilique Saint-Remi, la plus ancienne église de Reims. Sa sobre façade percée de trois portails masque une nef à triforium gothique du XIIe siècle, un chœur gothique flamboyant du début du XVIe siècle et deux chapelles Renaissance à colonnes corinthiennes du milieu du XVIe siècle.

L’église Saint-Jacques abrite trois séries de vitraux contemporains: ceux de Joseph SIMA, artiste tchèque, créé entre 1959 et 1965, ceux de Maria Helena VIEIRA DA SILVA, artiste portugaise, installés en 1996 et 1997, et ceux également de Benoît Marq, des ateliers Simon, mis en place en 2010

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Remise de la Légion d’Honneur et de la Croix de Guerre par le Président Poincaré à la ville de Reims, le 6 juillet 1919

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fêtes johanniques

Les fêtes johanniques de Reims sont une manifestation annuelle française célébrée à Reims pour commémorer le sacre de Charles VII, le 17 juillet 1429, en la cathédrale de Reims. Elles se déroulent chaque année au début du mois de juin et proposent une multitude d’animations et de spectacles médiévaux durant deux jours.

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biscuit rose

Créé en 1691, le Biscuit Rose de Reims est un des fleurons de la Ville de Reims. À cette date, des boulangers champenois, soucieux d'utiliser la chaleur de leur four après le défournage, eurent l'idée de créer une pâte spéciale qui, après avoir subi une première cuisson, était laissée dans le four à pain où elle finissait de sécher. D'où le mot « bis-cuit », c'est-à-dire cuit deux fois. La recette est inchangée depuis cette date, et c'est sans aucun doute l'un des derniers véritables « bis-cuits ». La maison Fossier est l'une des dernières biscuiteries à fabriquer le biscuit rose.

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Publié dans patrimoine

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