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Fauvisme

Publié le par Baldenberger

Mouvement pictural français (1903-1910) caractérisé par :

  - l'emploi de couleurs vives saturées, pour leurs fonctions suggestives et constructives

  - une absence de profondeur

  - l'emploi du cerne

  - la possibilité de laisser apparaître la toile par endroits

 

http://www.graphiste-webdesigner.fr/blog/2016/01/henri-matisse/#respond

 

             

              

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Art Naïf

Publié le par Baldenberger

L’art naïf désigne la manière d'aborder la peinture par les « peintres naïfs », dont l'une des principales caractéristiques plastiques consiste en un style pictural figuratif ne respectant pas — volontairement ou non — les règles de la perspective sur les dimensions, l'intensité de la couleur et la précision du dessin. Le résultat, sur le plan graphique, évoque un univers d'enfant, d'où l'utilisation du terme "naïf".

    

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HUNDERTWASSER (Friedrich STOWASSER)

Publié le par Baldenberger

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Pierre BONNARD

Publié le par Baldenberger

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Le lynx

Publié le par Baldenberger

Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynxLe lynx
Le lynxLe lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynxLe lynxLe lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
Le lynx
bobcat (lynx roux)

bobcat (lynx roux)

Publié dans Bestiaire

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Carnaval de DUNKERQUE

Publié le par Baldenberger

Carnaval de DUNKERQUE

Des rues envahies par des milliers de carnavaleux dont les parapluies et déguisements faits de plumes, chapeaux à fleurs et fourrures donnent vie à un vaste ensemble de couleurs bariolées, offrant un curieux contraste avec la grisaille hivernale, des chansons paillardes chantées à tue-tête, de la bière qui coule à flots, des kilos de harengs jetés de l’hôtel de ville, c’est le carnaval de Dunkerque, incontournable.

Pendant près de deux mois, de janvier à mars, la cité portuaire et les communes alentours sont métamorphosées et plongées dans une incroyable ambiance de fête débridée au rythme des Bandes, des chapelles (maisons « amies »), des hymnes et des tambours.

Tout commence au XVIIème siècle avec le développement de la pêche à la morue en Islande : la ville de Dunkerque venait d’être rattachée au royaume de France et les Dunkerquois qui pêchaient habituellement le hareng dans la mer du Nord se tournèrent vers la pêche à la morue, leur permettant ainsi de s’affranchir de la concurrence des Hollandais.

Les expéditions pouvaient durer environ six mois, entre avril et septembre, et se déroulaient dans des conditions très difficiles, voire dangereuses. Les marins dunkerquois (dont certains ne revenaient jamais de ces périlleuses aventures) touchaient une partie de leur solde avant le départ. Cet argent servait ainsi d’assurance à leur famille en cas de non retour.

Avant d’embarquer, les marins se réunissaient une dernière fois autour d’un banquet, la « foye », en partie financé par les armateurs. A l’occasion de ces banquets, les marins qui avaient déjà empaqueté leurs affaires pour leur long voyage, portaient les robes de leur femme et ornaient leur chapeau de fleurs. C’est la naissance de la « Visschersbende » Ces « fêtes » ont par ailleurs coïncidés à plusieurs reprises avec les « jours gras » qui précèdent le Carême et la fusion entre fête professionnelle et fête de carnaval s’est produite.

A la fin du XIXème, la pêche à la morue décline ainsi que la tradition carnavalesque. Le carnaval sera cependant relancé au début du XXème siècle sous l’impulsion de la municipalité. Interrompu pendant les deux guerres mondiales du XXème siècle, le carnaval reprit en 1946 dans une ville presque entièrement détruite par les bombardements.

Si la tradition était dans un premier temps le fait de marins, elle s’est progressivement étendue aux autres professions de la ville. Le Carnaval de Dunkerque y puise ses racines. Le carnaval est depuis resté une tradition ancrée dans les esprits, presqu’un rite et surtout, une occasion de se retrouver en famille et entre amis, qu’importe son âge et sa classe sociale.

 

Carnaval de DUNKERQUE
Carnaval de DUNKERQUE

D’où viennent les « pépins » du carnaval de Dunkerque ?

Ces hauts parapluies colorés sont indispensables au carnaval de Dunkerque. Ils portent les couleurs des associations organisatrices du carnaval. Ces organisations se consacrent le reste de l’année à des actions caritatives (vestiges des bals et œuvres de bienfaisance qui venaient en aide aux veuves et orphelins des marins).

L’origine de ces parapluies remonterait au XIXème siècle. A cette époque, les paysans, appelés « berguenaere » en flamand, se rendaient au carnaval accompagnés de leurs inséparables parapluies. Pour se moquer d’eux, les carnavaleux décidèrent de les imiter en adoptant à leur tour des parapluies. Aujourd’hui, ces parapluies permettent aux membres des associations de se reconnaître dans la foule et viennent s’ajouter à l’ensemble fourmillant de couleurs du carnaval.

Carnaval de DUNKERQUE
Carnaval de DUNKERQUECarnaval de DUNKERQUE
Carnaval de DUNKERQUE
Carnaval de DUNKERQUE
Carnaval de DUNKERQUE
Carnaval de DUNKERQUE
Carnaval de DUNKERQUE
Carnaval de DUNKERQUECarnaval de DUNKERQUE
Carnaval de DUNKERQUE
Le timbre représente le géant du Nord de Dunkerque «Reuze papa», le bateau-feu de France le «Sandettié» et l'église Saint-Eloi.

Le timbre représente le géant du Nord de Dunkerque «Reuze papa», le bateau-feu de France le «Sandettié» et l'église Saint-Eloi.

Publié dans Carnavals

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Carnaval de Cologne

Publié le par Baldenberger

Carnaval de Cologne
Carnaval de Cologne

Au mois de février, le carnaval bat son plein dans les rues de Cologne. Cette tradition remonte à l'Antiquité puisque cette ville allemande célèbre le carnaval depuis 2000 ans !

Déjà au Moyen Age, ces festivités se caractérisaient par des déguisements insolites et un grand tumulte, au grand dam de l'Eglise et du Conseil de la ville.

Le carnaval de Cologne tel qu’on le connaît aujourd’hui est organisé par le Comité des fêtes depuis 1823. Il est si remarquable que les habitants le qualifient de "huitième merveille du monde" ou de "cinquième saison".

Même s’il se déroule en février, le carnaval de Cologne se prépare dès le 11 novembre à 11h11, le 11 étant le chiffre des fous… Le début des festivités est alors officiellement annoncé sur la place du Marché-au-Foin dans le centre historique.

Les réjouissances carnavalesques battent leur plein pendant les 6 jours qui précèdent le Mardi gras et qui sont appelées "les folles journées". Les trois personnages symboliques du carnaval sont le Prince, le Paysan et la Vierge.

Deux événements se déroulent dans la ville :
• le carnaval "officiel" avec des tribunes payantes
• et le "off" où de joyeux drilles se moquent du carnaval officiel.

Le cri de ralliement de tous les cortèges est Alaaf !, c'est-à-dire "En avant !".

Le carnaval de Cologne, qui est le plus grand carnaval d’Europe, suit un calendrier très précis.

Les moments forts du carnaval sont :
• le jeudi : journée des femmes ; ce jour-là, les femmes coupent les cravates des hommes et embrassent les passants sur les joues
• le samedi : le défilé des fantômes qui se déroule en soirée
• le dimanche : défilé des enfants, tous déguisés
• le lundi : le défilé officiel qui est le plus grand défilé carnavalesque d’Allemagne (sur plus de 6 kilomètres, et pendant près de 4 heures). Il rassemble près d'un million de personnes dans les rues ! Les participants sur les chars distribuent des cadeaux à la foule (des bonbons et des roses).
• le mardi gras à minuit : on brûle les Nubbel (des mannequins de paille)
• le mercredi des Cendres : retraite aux flambeaux et traditionnel repas de poisson pour marquer le début du Carême.

Publié dans Carnavals

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Carnaval de BINCHE

Publié le par Baldenberger

Publié dans Carnavals

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Carnaval vénitien de REMIREMONT

Publié le par Baldenberger

Carnaval vénitien de REMIREMONT

Depuis 1996.

Chaque année, le Carnaval Vénitien commence par une Exposition qui dure et commence quinze jours avant les quatre jours de féérie vénitienne. L’ancien marché couvert se transforme en véritable espace féerique coloré, ou prennent place Masques, Photographies, Peintures, Mannequins, Diaporamas, et autres décors. C’est un spectacle en continu dans une musique d’ambiance !

Le week-end qui précède la féerie vénitienne, a lieu un Concert très original à l’église abbatiale (ou au centre culturel). Ce moment festif de qualité débute par la procession aux lanternes des Casanova, suivis de cinquante beaux costumés-masqués placés sur des estrades qui entourent les musiciens professionnels, pour une ambiance tout à fait originale.

C’est durant l’avant-dernier week-end de mars que se déroulent les quatre jours de Féérie Vénitienne du jeudi soir au dimanche soir. Les rues et les places de la ville sont envahies par les costumés ! Comédiens d’el Arte, Poudrés et Excentriques se donnent en public pour un grand opéra ! Orchestres de rue, sonorisation, son et lumière, tout est mis en scène dans la ville pour que les costumés s’exposent au regard des visiteurs émerveillés. L’ambiance est faite de rêve, de sourires, d’élégance, de douceur… Mais attention, les costumés ne parlent pas ! A Remiremont, le silence est d’or. C’est bien Venise qui s’invite à Remiremont par l’intermédiaire du masque et du costume artistique. Les visiteurs prennent part aux langoureuses promenades des costumés.

Mais pas de Carnaval Vénitien sans Bal Costumé ! Dans les quatre jours de féerie, le vendredi soir est réservé à un dîner-spectacle ! Pour la circonstance et la qualité de cette soirée prestigieuse, le palais des congrès revêt ses drapés vénitiens, et ses éclairages féeriques. Deux orchestres animent cette soirée qui commence par une parade de soixante magnifiques costumés-masqués. Sur des airs de grande musique, les convives se retrouvent dans une valse de tulles, de chapeaux, de fleurs et de strass, et ont la possibilité de danser au bras des costumés entre deux mets.

Du vendredi au samedi de ces quatre jours de féerie, a lieu le Marché Vénitien. Une rue entière, en accès libre, lui est réservé, où viennent exposer des marchands de souvenirs, poupées vénitiennes, masques et costumes, plumes d’autruche, bijoux et autres articles se rapportant au carnaval vénitien. Si les visiteurs sont sûrs d’y trouver un souvenir de la manifestation, c’est aussi un lieu de promenade très prisé par les costumés-masqués.

Le samedi matin, dans la cour de la médiathèque (surnommée « Le Petit Versailles »), a lieu la Séance Photos. Les costumés prennent les poses pour le plaisir des photographes et des spectateurs. Un pur moment de plaisir !

Le dimanche matin, pour la Sortie de la Messe sur le parvis de l’église et sur le square de la Place de Mesdames (avec le palais abbatial comme décor naturel), a lieu un autre moment de joie, de photos, agrémenté de concerts. Les costumés se mélangent à la foule à l’heure de l’apéritif !

Publié dans Carnavals

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Carnaval de Bâle

Publié le par Baldenberger

Carnaval de Bâle
Les "laterne" et le carnaval sont inscrits au patrimoine mondial culturel immatériel de l'Unesco

Les "laterne" et le carnaval sont inscrits au patrimoine mondial culturel immatériel de l'Unesco

Le carnaval de Bâle est un des plus connus et extravagants de Suisse. Lorsque le carnaval débute de "bon matin", Bâle s’anime au son des tambours et de la flûte piccolo , joués par des personnages déambulant masqués et costumés.

Ses origines remontent à la tradition médiévale du carême ; une grande partie de son histoire se perd dans les méandres de l’histoire : le tremblement de terre de 1356 a non seulement détruit une grande partie de la ville, mais également les archives qui y étaient rattachées ; le plus ancien document conservé date de 1376 et rapporte les faits de la « böse Fastnacht » (carnaval méchant)

En 1832 apparaissent les premières mentions des chanteurs (appelés aujourd’hui les « Schnitzelbänggler »), dont les ancêtres sont les auteurs de quolibets et de chansons de brigands du XVIe siècle.

La tradition du « Morgenstraich » a été introduite en 1835. Les participants devaient à l’époque marcher à travers la ville avec des torches puis plus tard avec des lanternes.

En 1910 fut créé un « comité de Carnaval », neutre , chargé d’oeuvrer discrètement et de défendre les intérêts des participants actifs.

Le Morgenstraich (ce fameux "bon matin") commence traditionnellement le lundi suivant le mercredi des Cendres, à 4h du matin précisément : tous les éclairages publics sont éteints pendant la Morgenstraich, afin de faire place à la procession de grandes lanternes décoratives.

La journée se poursuit dans la même veine, avec de la musique, des déambulations, et surtout ... beaucoup de bruit ! (tambours et fifres) ; suivent trois jours de déambulation où se mêlent parades, Gückenmusik, tambours, fifres, et jets d’orange, de mimosas ou petits présents… tout en distribuant les « plakettes » sous des avalanches de confettis dont certains sont copieusement arrosés.

Publié dans Carnavals, patrimoine

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