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Käsespätzle

Publié le par Baldenberger

Käsespätzle

Le Käsespätzle est originaire de la région de Souabe, dans le sud-ouest de l'Allemagne .

Comme l'Allemagne et l'Autriche partagent de nombreuses cuisines, il est également couramment consommé en Autriche.  La première mention de Spaetzle a été enregistrée vers 1725.

Spätzle est un mot souabe (région historique d’Allemagne), diminutif de « Spatzen » qui signifie moineaux.

On les connaît aussi en Alsace mais la recette est un peu différente. Les Spätzle sont confectionnées à partir de farine, d’œufs et d’eau. C’est la même recette que la pâte aux œufs italienne mais liquide. Le principe pour les préparer est de verser la pâte liquide sur une planche adéquate avec des trous (un appareil à Spätzle) et de faire tomber des petits bouts de pâte dans l’eau bouillante à l’aide d’un couteau. Les petites pâtes ainsi cuites remontent à la surface

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Judd mat Gaardebounen

Publié le par Baldenberger

Judd mat Gaardebounen

Les origines du Judd mat Gaardebounen proviennent d’une époque où la conservation des aliments était essentielle à la survie. Le fumage était une méthode populaire pour conserver la viande, ce qui a conduit à la création du Judd – un collier de porc fumé qui constitue la base de ce plat.

Les fèves, ou Gaardebounen en luxembourgeois, étaient souvent cultivées dans les jardins familiaux. Elles étaient faciles à cultiver et constituaient un complément nutritif aux repas. En combinant ces deux ingrédients, on obtient un repas simple mais satisfaisant qui peut être dégusté tout au long de l’année.

Le Judd mat Gaardebounen est plus qu’un simple plat, c’est un symbole de la cuisine luxembourgeoise. Il représente le passé agricole du pays et son évolution culinaire. Ce plat est souvent utilisé pour faire découvrir la cuisine luxembourgeoise aux étrangers, car il met en valeur la capacité du pays à créer des plats savoureux à partir d’ingrédients simples.

En outre, il figure souvent sur les menus de tout le pays, qu’il s’agisse de restaurants haut de gamme ou d’établissements familiaux accueillants. Sa popularité a même donné lieu à un festival annuel de Judd mat Gaardebounen où les habitants et les touristes peuvent déguster ce trésor national.

Publié dans patrimoine

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Petit monarque

Publié le par Baldenberger

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251 Pie VII

Publié le par Baldenberger

251 Pie VII
251 Pie VII

Le pape Pie VII est le 251e pape de l’Église catholique. Barnaba Chiaramonti est né le 14 août 1742 à Cesena et est mort le 20 août 1823 à Rome. Pie VII (1742-1823) fut pape de 1800 à 1823.

Il signa un concordat avec la République française en 1801, mais se battit contre l'occupation napoléonienne de Rome et la dissolution des États pontificaux.

Jean-Louis Demarne et Alexandre-Hyancinthe Dunouy, L'entrevue de sa majesté l'Empereur et de Sa Sainteté Pie VII dans la forêt de Fontainebleau, 1808.
Jean-Louis Demarne et Alexandre-Hyancinthe Dunouy, L'entrevue de sa majesté l'Empereur et de Sa Sainteté Pie VII dans la forêt de Fontainebleau, 1808.

Jean-Louis Demarne et Alexandre-Hyancinthe Dunouy, L'entrevue de sa majesté l'Empereur et de Sa Sainteté Pie VII dans la forêt de Fontainebleau, 1808.

La venue du pape Pie VII à Paris en 1804, à l'occasion du sacre de Napoléon, donna lieu à la commande officielle de ce tableau peint par Jean-Louis DEMARNE. Le sujet retenu est celui de la rencontre entre l'empereur et le pape en forêt de Fontainebleau.


Le dimanche 25 novembre 1804, prévenu de l’arrivée du souverain pontife, Napoléon orchestre une rencontre inopinée en forêt sous couvert d'une chasse. Il veut ainsi éviter un protocole multipliant les égards à l'intention du pape – au point d'attendre que celui-ci ait posé le pied à terre avant de descendre de cheval, contrairement à l'étiquette. L'œuvre montre le rapport de force qui s'installe d'emblée entre les deux hommes.
Le 28 novembre, la cour quitte Fontainebleau pour Paris

251 Pie VII
251 Pie VII
251 Pie VII

On retrouve les armoiries papales de Pie VII dans le marbre du jardin de la villa Borghese à Rome

Publié dans RELIGION

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Léiothrix à joues argentées

Publié le par Baldenberger

Léiothrix à joues argentées

(Leiothrix argentauris)

Léiothrix à joues argentées
Léiothrix à joues argentées

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Carbonade flamande

Publié le par Baldenberger

Carbonade flamande

La carbonade doit son nom au charbon de bois sur lequel elle mijotait autrefois pendant de longues heures. Originaire de Belgique et aussi du nord de la France, elle est généralement préparée à base de bœuf, également appelé stoofvlees ou rundstoofvlees en néerlandais.

La carbonade flamande est un plat cuisiné, sur le même principe que le bœuf bourguignon. Cependant, il y a des différences et pas des moindres : contrairement à son cousin, la carbonade est faite avec de la bière brune à la place du vin, des oignons émincés et pour la note sucrée, quelques tranches de pain d'épices émiettées

Faire griller ou rissoler la viande, c'est-à-dire la carboniser (d'où le terme de « carbonade ») dans de la graisse avec des oignons, est la première étape pour fabriquer ce plat typique. Mais nos ancêtres n'apprécient pas les saveurs brutes, ils préfèrent relever le goût des plats, c'est-à-dire « ragoûter », en faisant mijoter la viande dans une sauce et non dans l'eau, ce qui donnerait une potée. Pour la carbonade flamande, la sauce est la bière, dans laquelle on ajoute du pain d'épices ou de la cassonade.

Carbonade flamande

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Cocolino

Publié le par Baldenberger

Cocolino

1997-1998 Cocolino  série TV Suisse.

Les chatons préparent des plats à imiter dans la cabane dans les arbres.

Cocolino
Cocolino
Cocolino

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Bacchante

Publié le par Baldenberger

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Fondation VUITTON

Publié le par Baldenberger

Fondation VUITTON

A l'origine, la Fondation Louis Vuitton désignait seulement la fondation d'entreprise de la marque de luxe, créée depuis 1990.

Vingt-cinq ans plus tard, la Fondation a désormais une identité, un bâtiment tout entier à son effigie. Le 24 octobre 2014, on assiste à l'inauguration  de la Fondation Louis Vuitton, un projet pensé par l'architecte Frank Gehry, architecte américano-canadien, père du célèbre musée Guggenheim de Bilbao (Espagne).

Douze voiles translucides composent cet immense voilier fait de verre et d'acier, qui surplombe fièrement le Jardin d'Acclimatation. A l'intérieur, place à la création, avec la volonté dès la réflexion de ce projet, de rendre l'art contemporain accessibles à toutes et à tous, au sein d'un espace où les plus grands peintres et sculpteurs seront exposés. Rothko, les prestigieuses collections du MoMa de New-York, Basquiat, Warhol... les plus grands artistes internationaux se sont succédés au sein d'expositions collectives ou de rétrospectives.

Fondation VUITTON
Fondation VUITTON

L’histoire de Louis Vuitton

Louis Vuitton naît en 1821 dans une petite commune du Jura. Fils de menuisier, le jeune homme apprend rapidement les rudiments des travaux manuels. À l’âge de 16 ans, il décide de quitter sa famille pour rejoindre Paris : il parcourt alors 400 km à pied. Une fois arrivé à la capitale, il travaille comme apprenti chez un “layetier-emballeur-malletier” pour y réaliser des coffres de voyage. Très habile de ses mains, Louis Vuitton se voit confier les clients les plus notoires. En 1852, âgé de 31 ans, il confectionne d’ailleurs un nécessaire de voyage destiné à transporter les crinolines de l’impératrice Eugénie. Alors qu’il travaille encore comme apprenti, le jeune malletier est témoin des changements qui bouleversent la société de l’époque. Avec l’essor des nouveaux moyens de transport, les voyages connaissent de plus en plus de succès auprès de la classe aisée. C’est alors que le jeune apprenti fait un constat : les malles bombées sont inadaptées à l’empilage dans les transports.

C’est en 1854, que Louis Vuitton fonde sa propre société et ouvre sa première boutique rue des Capucines à Paris. Il crée ainsi la "malle plate", qu’il estime plus pratique et plus adaptée au voyage et qui rencontrera rapidement un franc succès. Quelques temps plus tard, le créateur décide de déplacer ses ateliers dans une ville de bord de Seine afin de profiter pleinement du transport fluvial, qui constitue alors une aubaine pour l’expansion de son commerce hors de la capitale.

Quelques années plus tard, Louis Vuitton est de nouveau inspiré par l’univers du voyage, devenant ainsi son fer de lance. En parallèle, l’ouverture du canal de Suez offre au créateur une nouvelle clientèle friande de luxe à la française. Les maharadjahs et les rois d’Orient constituent à cette époque la vitrine idéale pour la maison française. La création de la serrure incrochetable en 1886 fera de d'ailleurs ces célèbres malles de véritables coffres à trésors.
En 1870, Georges, le fils de Louis, développe la griffe à l’étranger. Louis Vuitton prend désormais ses quartiers à Londres, avant de poser ses valises à New York.

À la mort de Louis Vuitton en 1892, son fils Georges reprend l’entreprise familiale. Aidé par sa descendance, Georges innove constamment et crée notamment en 1896, la toile Monogram initialement tissée aux Métiers Jacquards avant d’être fixée sur les malles. Petit-fils du fondateur, Gaston-Louis Vuitton, reprend les rênes de la maison en 1936,  accompagné de son fils Claude-Louis, avec qu’il réinventera en 1959, la toile Monogram, conçue cette fois-ci à base de lin, de coton et de PVC. En 1977, l’entreprise devient une véritable multinationale, avant de fusionner en 1987, avec Moët Hennessy. LVMH était né, devenant alors rapidement un leader mondial dans le domaine du luxe.

https://www.vogue.fr/communaute/wiki-de-la-mode/articles/louis-vuitton-emblme-du-luxe-la-franaise/20614

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Puvis de Chavannes

Publié le par Baldenberger

"Le bois sacré" (1886-89)

Grand amphithéâtre de la Sorbonne Paris

 

L'œuvre originale a servi d'inspiration pour le troisième tableau, également connu sous le nom de L'Ancienne Sorbonne, qui développait le thème du Bosquet sacré.

Il a été commandé en 1886 (et terminé en 1889) pour le Grand Amphithéâtre de la Sorbonne, à Paris. Cette troisième œuvre faisait partie d'une trinité de commandes républicaines à Paris, dont Été et Hiver et L'Éducation de Sainte Geneviève et La Vie Pastorale de Sainte Geneviève.

La version originale commandée en 1883 a été peinte de 1884 à 1886, avant d'être montée pour décorer l'escalier d'entrée du Musée des Beaux-Arts de Lyon.

L'original Le Bosquet sacré mesure 460 x 1040 cm de large. Il est accompagné de deux autres tableaux de Puvis : Vision antique et Inspiration chrétienne qui étaient également des huiles sur toile et ont été tous deux achevés en 1885.

Puvis de Chavannes
Puvis de Chavannes
Puvis de Chavannes
Puvis de Chavannes
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