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Puvis de Chavannes

Publié le par Baldenberger

"Le bois sacré" (1886-89)

Grand amphithéâtre de la Sorbonne Paris

 

L'œuvre originale a servi d'inspiration pour le troisième tableau, également connu sous le nom de L'Ancienne Sorbonne, qui développait le thème du Bosquet sacré.

Il a été commandé en 1886 (et terminé en 1889) pour le Grand Amphithéâtre de la Sorbonne, à Paris. Cette troisième œuvre faisait partie d'une trinité de commandes républicaines à Paris, dont Été et Hiver et L'Éducation de Sainte Geneviève et La Vie Pastorale de Sainte Geneviève.

La version originale commandée en 1883 a été peinte de 1884 à 1886, avant d'être montée pour décorer l'escalier d'entrée du Musée des Beaux-Arts de Lyon.

L'original Le Bosquet sacré mesure 460 x 1040 cm de large. Il est accompagné de deux autres tableaux de Puvis : Vision antique et Inspiration chrétienne qui étaient également des huiles sur toile et ont été tous deux achevés en 1885.

Puvis de Chavannes
Puvis de Chavannes
Puvis de Chavannes
Puvis de Chavannes
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La bouillabaisse

Publié le par Baldenberger

La bouillabaisse

La bouillabaisse est une spécialité culinaire traditionnelle et institutionnelle de la cuisine de la Provence méditerranéenne. Originaire de Marseille, dont elle est un emblème, elle se compose d'une soupe de poissons accompagnée de croûtons de pain frottés à l’ail et tartinés de rouille, de morceaux de poissons, et de pommes de terre.

La bouillabaisse

Issue de la Grèce antique, la bouillabaisse apparaît en même temps que la fondation de Marseille, au VIIe siècle avant J.-C. Il désigne classiquement un bouillon, dans lequel on ajoute tous les restes et les poissons invendus par les pêcheurs.

La bouillabaisse est le plat des pêcheurs. Le terme provient du provençal bouipeis peis qui signifie bouillir le poisson. La bouillabaisse se compose d’ingrédients qui étaient facilement accessible pour les travailleurs de la mer ou qui n’étaient pas coûteux. Il s’agissait en particulier de préparer un ragoût de poissons avec les invendus, c’est-à-dire les poissons de roche, qui ne trouvaient que rarement des acheteurs.

La bouillabaisse
La bouillabaisse
La bouillabaisse

Publié dans patrimoine

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gecko

Publié le par Baldenberger

gecko
gecko
gecko

Gecko, ou "gekkota", est en réalité un nom généraliste derrière lequel se cache un très grand nombre d'espèces. De ce fait, il en existe de plusieurs couleurs, surtout des bruns et des gris, parfois des beiges, mais aussi des orangés, des bleus, des tachetés de rouge ou de blanc, et même des multicolores. D'une manière générale, la couleur d'un gecko est adaptée à son environnement et lui permet de se camoufler.

Le gecko est un petit reptile ressemblant généralement à un lézard, mais qui est recouvert d'écailles. Sa taille varie selon son espèce, allant de 16 millimètres pour les plus petits (comme la Sphaerodactylus ariasae) à 30 cm pour les plus grands.

gecko

Publié dans Bestiaire

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Azuré de la sanguisorbe

Publié le par Baldenberger

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Sacher torte

Publié le par Baldenberger

Sacher torte

La sachertorte est un gâteau au chocolat viennois avec de la confiture d'abricot, mis au point et confectionné par Franz Sacher en 1832 pour le prince de Metternich.

Franz Sacher était alors un jeune apprenti de 16 ans, qui remplaçait pour l'occasion son chef-pâtissier, alité. Plus tard, Sacher a ouvert sa pâtisserie à Vienne. Elle est au XXIe siècle une spécialité de l'hôtel Sacher de Vienne et, dans une version concurrente, celle du chocolatier Demel.

Le gâteau de l'hôtel Sacher, cuit dans un moule rond, est constitué de deux couches de pâte à génoise au chocolat aérée, d'une fine couche de confiture d'abricots au milieu et d'un glaçage de chocolat noir sur le dessus et les côtés.

Publié dans patrimoine

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Ratatouille

Publié le par Baldenberger

Ratatouille
Ratatouille

Ratatouille est le huitième film d'animation en images de synthèse des studios américains Pixar, écrit et réalisé par Brad Bird et sorti en salles en 2007.

Le film raconte les aventures animées d'un rat, nommé Rémy, qui est séparé de sa famille lors d'une fuite en catastrophe de sa colonie, délogée de son lieu d'établissement. Rémy s'installe alors dans les cuisines de Chez Gusteau !, un grand restaurant parisien, et fait la connaissance d'Alfredo Linguini, un jeune commis de cuisine.

Acclamé tant par le public que par la critique, le film se hisse dès sa sortie en tête du box-office aux États-Unis, en France et au Royaume-Uni. Il sera finalement un succès et recevra diverses récompenses, dont l'Oscar du meilleur film d'animation en 2007.

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Tarte Tatin

Publié le par Baldenberger

Tarte Tatin
Tarte Tatin

La légende raconte que la tarte Tatin est née d’un oubli dans les cuisines d’un hôtel-restaurant du village de Lamotte-Beuvron, au sud d’Orléans, dirigé jusqu’en 1906 par Stéphanie et Caroline Tatin. Fréquentée des chasseurs, l’adresse était réputée pour ses délicieuses tartes aux pommes fondantes et caramélisées. Un jour, constatant l’absence de dessert, l’une des deux sœurs se précipita en cuisine pour préparer une tarte. Elle aurait alors déposé quelques pommes épluchées dans un moule beurré et saupoudré de sucre avant de les mettre au four en oubliant la pâte. Se rendant compte de son erreur, elle aurait déposé celle-ci à la hâte sur les pommes au cours de la cuisson. Lors du service, les pommes caramélisées cuites à l’étouffée et le croustillant de la pâte remportèrent un vif succès auprès des convives. Mais l’on raconte aussi qu’elle serait tout bonnement une tarte aux pommes renversée à la sortie du four et servie à l’envers. Si les sœurs Tatin ont fait connaître la tarte qui porte aujourd’hui leur nom, elles n’en sont pas pour autant à l’origine.

En effet, cette tarte aux pommes « renversée » s’inspire de la recette d’une ancienne spécialité solognote qui se transmettait alors de mère en fille. Quelques années plus tard, la « Tarte des demoiselles Tatin » figure à la carte du célèbre restaurant parisien Maxim’s après que son propriétaire l’ait découverte à l’Hôtel Tatin. Il ne fut pas le seul à l’époque à être conquis. Maurice-Edmond Sailland dit Curnonsky, grand ambassadeur de la cuisine française, participa à asseoir la renommée de la tarte Tatin en publiant sa recette dans son ouvrage co-écrit avec Marcel Ruff La France gastronomique - L’Orléanais (1926).

D’ailleurs, il se dit aussi que c’est lui qui est à l’origine de la légende de la maladresse des sœurs Tatin ! Quoi qu’il en soit, la tarte Tatin est aujourd’hui l’un des desserts préférés des Français. Reconnue dans le monde entier, elle est inscrite au patrimoine immatériel de l’UNESCO et défendue par la Confrérie des Lichonneux de Tarte Tatin depuis 1978.

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Tarte au citron

Publié le par Baldenberger

Tarte au citron

Les racines de la tarte citron meringuée sont variées. Chaque partie du dessert vient d’une région différente du monde.

Premièrement : la crème au citron. Celle-ci est originaire du Royaume-Uni. Elle a été inventée vers la fin du XVIIIe siècle, par la Société religieuse des amis, surnommée les Quakers. Les Américains eux, l’étalaient sur le fond d’une pâte et lui préféraient (et toujours aujourd’hui) la Key Lime Pie, une tarte au citron vert.

La tarte citron aurait ensuite été importée en Suisse, où le terme « meringuée » prend tout son sens. Le chef d’origine italienne, nommé Gasparini, aurait inventé la meringue en 1720. Un personnage, qui aurait ainsi donné son nom à la ville où la meringue est née : Meiringen.

La tarte citron meringuée aurait été créée, dans son entièreté, en 1806, à Philadelphie, aux États-Unis, par une pâtissière américaine, Elizabeth Goodwell. Elle serait la première personne à avoir codifié la tarte et à l’avoir réalisée avec l’ensemble des composants, comme elle est connue aujourd’hui.

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Brochet au beurre blanc

Publié le par Baldenberger

Brochet au beurre blanc
Brochet au beurre blanc

Le beurre blanc est une sauce émulsionnée à chaud qui accompagne de nombreux poissons pochés ou grillés. On parle également de « beurre nantais ».

Il est parfois raconté que, en 1890, au restaurant La Buvette de la Marine, dans le hameau de La Chebuette, lieu-dit de la commune de Saint-Julien-de-Concelles, situé sur les bords de Loire, à quelques kilomètres en amont de Nantes, Clémence Lefeuvre aurait inventé le beurre blanc, pour le marier avec les poissons de Loire. La légende veut que le premier beurre blanc serait dû à une maladresse lors de la réalisation d’une béarnaise pour accommoder un brochet à laquelle on aurait oublié d’ajouter l’estragon et les jaunes d’œuf. Il est d’ailleurs encore appelé « beurre raté » dans la région de Saint-Julien-de-Concelles.

Ceux qui proposent cette invention au XIXe siècle ignorent toutefois que la recette se trouve déjà dans L. S. R., L'Art de bien traiter, en 1643, reprise ensuite par Pierre François La Varenne et par Massialot, sous le nom de « sauce blanche ».

Brochet au beurre blanc

Le brochet est un poisson carnassier d'eau douce très populaire en France. Il est facilement identifiable avec son bec pourvu de dents tranchantes comme des lames à rasoir !

C'est un très beau poisson avec sa robe verte parsemée de pigmentations jaunes. Mais c'est surtout l'un des plus puissants des carnassiers d'eau douce.

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Saint-Honoré

Publié le par Baldenberger

Saint-Honoré

L’histoire du Saint-Honoré démarre vers 1847. C’est dans la Maison Chiboust, célèbre pâtisserie de l’époque, que la recette est inventée. Inspirée à la base d’un dessert bordelais, Chiboust donne à sa création le nom de Saint Honoré.

Il s’agit à la base du nom de la rue sur laquelle la pâtisserie est installée. Mais on ne peut pas ignorer le fait que Saint Honoré soit aussi le saint patron des boulangers, huitième évêque d’Amiens. Placé sous de tels hospices, le Saint Honoré est devenu emblématique de la pâtisserie française.

Au départ, il s’agit simplement d’une brioche fourrée de crème pâtissière. Auguste Jullien, pâtissier chez Chiboust, quitte cette pâtisserie pour s’installer à son propre compte. Dans les années 1870, celui qui est aussi le créateur du Savarin va retravailler la recette apprise chez Chiboust.

Il va fixer les bases de la recette encore utilisée aujourd’hui. Le Saint Honoré devient un cercle de pâte feuilletée ou brisée, avec de petits choux et recouvert de crème Chiboust ou de Chantilly. Dans sa forme originale, les choux sont farcis de crème et enrobés de caramel. Mais la recette a évolué et s’ouvre à la créativité et aux préférences singulières. On retrouve aujourd’hui des Saint Honoré à la confiture, à la fraise, au chocolat ou au citron.

Publié dans patrimoine

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