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Georges CLEMENCEAU

Publié le par Baldenberger

Georges CLEMENCEAU
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Georges CLEMENCEAU

Georges Clemenceau ou George Benjamin Clemenceau est un homme politique français, né le 28 septembre 1841 à Mouilleron-en-Pareds et mort le 24 novembre 192988 ans) à Paris.

Il a fait des études de médecine, et est devenu médecin comme son père. Après un séjour en Angleterre, puis aux Etats-Unis, il revint s'installer en France, et s'impliqua dans la politique du pays.

Lors de la chute du Second Empire, en 1870, Clemenceau participa, le 4 septembre 1870, à la proclamation de la république. En 1876, il est élu député de la Seine, et devient le chef de file des radicaux, à l'extrême gauche de la Chambre. Il se place contre Jules Ferry, concernant sa politique coloniale. Puis il créa la Société des droits de l'Homme et du Citoyen, pour protéger le régime des volontés de pouvoir personnel. Il devient sénateur dès 1902 et président du Conseil de 1906 à 1909. Il veilla à la séparation de l'Église et de l'État, réprima durement les grèves, mais mis en place le ministère du Travail.

En 1917, pendant la Première Guerre mondiale, il est nommé président du Conseil, c'est-à-dire qu'il dirige le gouvernement. Il arrive au pouvoir au moment où le conflit s'éternise et les soldats sont fatigués de se battre. Georges Clemenceau cherche à remonter le moral des troupes en rendant visite aux soldats dans les tranchées, malgré les risques. Il lutte également avec fermeté contre les mutineries et les désertions. Il fait appel aux troupes coloniales.

À l'arrière, il combat les grèves dans les usines où les ouvriers réclament des hausses de salaires et une amélioration des conditions de travail. Il représente la France aux conférences de paix qui suivent la Première Guerre mondiale et souhaite punir l'Allemagne qui est rendue responsable du conflit.

Georges Clemenceau est surnommé « le Père la Victoire » ou encore « le Tigre ». Il est élu à l'Académie française en 1918.

Georges CLEMENCEAU
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Georges CLEMENCEAU
Georges CLEMENCEAU
Georges CLEMENCEAU

La maison de Georges Clemenceau est une maison située au bord de l'océan Atlantique au lieu-dit « Bélesbat » à Saint-Vincent-sur-Jard en Vendée ; elle a été la maison de campagne de l'homme politique Georges Clemenceau à la fin de sa vie.

Georges CLEMENCEAU
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Georges CLEMENCEAU
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Georges CLEMENCEAU
Georges CLEMENCEAU
Georges CLEMENCEAU

Le Clemenceau est un cuirassé français qui n’a jamais été achevé et mis en service. Débuté le 17 janvier 1939, il n’est pas suffisamment avancé pour être lancé. Il est finalement ferraillé après la guerre

Georges CLEMENCEAU
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Maria CALLAS

Publié le par Baldenberger

Maria CALLAS
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Maria CALLAS
Maria CALLAS
Maria CALLAS
Maria CALLAS

Je suis née à Manhattan (Etats-Unis) le 2 décembre 1923, dans une famille d’immigrés grecs. Ma mère est passionnée de musique.

En 1936, mes parents se séparent et je rentre au pays en compagnie de ma sœur et de ma mère.

En 1937, j’entre au Conservatoire National Grec. J’ y étudie avec Maria Trivella, qui me conseille de chanter dans une tessiture plus élevée que le contralto que je pratiquais jusque-là.

En 1938, je me produis sur scène pour la première en fois dans un récital de fin d’année, où je chante un extrait de Tosca de Puccini.

En 1939, je donne ma première représentation d’opéra, dans le rôle de Santuzza dans une production étudiante de Cavelleria Rusticana de Mascagni.

En 1939, je passe du Conservatoire National Grec au plus prestigieux Conservatoire d’Athènes.

Je fais mes débuts professionnels en 1941 à l’Opéra National Grec d’Athènes, dans un petit rôle, celui de Béatrice dans l’opérette Boccaccio de Franz von Suppé. En 1942, j’y joue mon premier rôle important, Marta dans Tiefland d’Eugen d’Albert, et je continue à m’y produire le long de la guerre.

Après la Libération, je pars tenter ma chance aux Etats-Unis et je coupe complètement les ponts avec ma mère. Les débuts sont difficiles, d’autant que mon timbre si caractéristique n’est pas du goût de tout le monde.

En 1947, j’obtiens une audition avec le directeur artistique des Arènes de Vérone pour le rôle-titre dans La Gioconda de Ponchielli. Je décroche ainsi mon premier grand rôle. Je rencontre également mon premier mari, Giovanni Battista Menighini, qui sera mon manager jusqu’à la dissolution de notre mariage. J’enchaine avec la plupart des grandes scènes d’Italie. Ainsi, en 1947, je fais mon début à la Fenice dans le rôle-titre de Tristan et Isolde de Wagner. La même année, c’est au Teatro Communale de Florence que je chante pour la première fois l’un des rôles qui resteront toujours associés à mon nom, la Norma de Bellini.

En 1949, trois jours seulement après avoir chanté La Walkyrie (Brunnhilde) de Wagner à la Fenice, j’y chante Elvira dans Les Puritains de Bellini. J’apprends mon rôle à la dernière minute. Et pourtant, Les Puritains est un triomphe. j’insuffle justement une vigueur dramatique dans ce rôle, qui n’était alors considéré que comme un vain exercice de vocalise.

La même année, elle j’effectue mes premiers enregistrements, permettant à ma voix si particulière d’être entendue à travers le monde. Cette voix se distingue par ses trois registres différents : un premier dans les graves, sombre et dramatique, un deuxième dans les médianes, dont le timbre a souvent été comparé à un hautbois, et un troisième dans les aigus, d’une puissance et d’un éclat sans commune mesure avec la plupart des coloratures. Cette spécificité a fait dire à certains que j’avais trois voix !

En 1950, je fais ses débuts à la Scala de Milan en remplaçant Renata Tebaldi dans le rôle d’Aida (Verdi). Sa rivalité avec cette dernière défraie la chronique tout au long de nos carrières.

Je fais mon vrai début à la Scala en 1951, en Elena dans Les Vêpres Siciliennes de Verdi. Florence en 1951, ainsi qu’Armida de Rossini, à Florence également, en 1952. La même année, je fais mes débuts à Covent Garden dans Norma, où chante également la jeune Joan Sutherland, qui deviendra l’une des chefs de file de la génération post-Callas.

En 1953, je réalise un célébrissime enregistrement de Tosca pour EMI.

La même année, alors que je m’apprête à chanter Médée à Florence, j’ entame un régime drastique : ma perte de poids aura un impact sur ma voix, mais mon nouveau physique contribue à une aura scénique et à mon statut de vedette. En 1954, je chante La vestale de Spontini à la Scala.

C’est également en 1954 que je fais mes débuts au Lyric Opera de Chicago dans Norma. Ma carrière est à son apogée. En 1958, je fais mes débuts à l’Opéra de Paris en récital. La même année, la Traviata est enregistrée à Lisbonne et rentre dans les annales.

La décennie 1960 est en dents de scie : ma voix se dégrade du fait du nombre important de concerts chantés, du régime drastique que je m'impose et d'une maladie mal diagnostiquée. Les médias donnent désormais une grande importance aux aspects extra-professionnels de ma vie, tels que ma liaison avec le magnat grec Aristote Onassis, dont je deviens sa maîtresse en 1959, lors d’une croisière. Ma voix commence à échapper à mon contrôle. En 1964-1965, je réalise ce qui s’apparente à une tournée d’adieu, donnant les rôles les plus emblématiques de ma carrière dans les plus grandes salles : Médée, Norma et Tosca.

Les dernières années de ma vie sont amères. Onassis met fin à notre liaison en 1969 afin d’épouser Jacqueline Kennedy.

En 1970, je suis hospitalisée après une overdose de barbituriques. Mon dernier concert a lieu le 11 novembre 1974 à Sapporo, au nord du Japon. Je finis sa vie recluse dans un appartement parisien, où je meurs subitement le 16 septembre 1977. Les circonstances de ma mort n’ont jamais été totalement éclaircies.

Maria CALLAS

Maria Callas' est un cultivar de rosier obtenu en 1965 par la rosiériste française Marie-Louise Meilland, issu d'un croisement 'Chrysler Imperial' (Lammerts, 1952) × 'Karl Herbst' (Kordes, 1950).

Il est dédié à la grande cantatrice grecque Maria Callas, (1923-1977).

Maria CALLAS
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Maria CALLAS
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Robert NANTEUIL

Publié le par Baldenberger

Robert NANTEUIL
Robert NANTEUIL
Robert NANTEUIL

Originaire de Reims, où il naît vers 1623, Robert Nanteuil a été l’un des portraitistes les plus sollicités du Grand Siècle, s’illustrant avec éclat dans les arts de la gravure, du dessin et du pastel. Issu d’une famille éloignée des milieux artistiques locaux, Nanteuil fréquente d’abord les collèges rémois, celui des Jésuites puis celui des Bénédictins de l’abbaye de Saint-Remi, où il effectue ses Humanités.
Entré tard dans la profession, Nanteuil est initié à la pratique du burin par son compatriote le graveur Nicolas Regnesson. Formé à Reims, il bénéficie alors probablement des conseils du vieux maître local Edme Moreau avant de remarquablement s’intégrer à la société parisienne de son temps. Établi à Paris vers la fin de l’année 1646, Robert Nanteuil se trouve rapidement lié aux graveurs, aux éditeurs et aux marchands d’estampes de la rue Saint-Jacques, travaillant surtout pour la librairie. La faveur du portraitiste champenois n’est pas moindre à la cour, où il acquiert une belle réputation d’abord auprès du cardinal Mazarin et du chancelier Séguier, puis auprès de Louis XIV qui ne lui ménage ni son attention ni son contentement et lui délivre titres et privilèges. Nommé dessinateur et graveur ordinaire du roi en 1658, Nanteuil fut un artiste recherché, en crédit constant auprès des puissants, notamment auprès de la famille Colbert, avec laquelle il partage des origines rémoises. Ainsi sa production compte-t-elle les délicats portraits des principaux personnages des jeunes années du règne de Louis XIV, parmi lesquelles plusieurs figures remarquables de la Champagne du Grand Siècle.

https://journals.openedition.org/crcv/13343

portrait de Mme de Sévigné de Robert Nanteuil
portrait de Mme de Sévigné de Robert Nanteuil

portrait de Mme de Sévigné de Robert Nanteuil

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Jules ISAAC

Publié le par Baldenberger

Jules ISAAC
Jules ISAAC

En 1906, Jules Isaac est un jeune professeur d'histoire. Il a 29 ans. Après avoir réussi l'agrégation, il a enseigné à  Nice, puis à  Sens. Il vient d'obtenir une bourse pour entreprendre des recherches sur la France du XVIe siècle. Mais l'argent manque. Ernest Lavisse, le maître historien qui fait et défait les carrières, qui conseille les ministres, qui tient un rôle primordial auprès des éditeurs, introduit Isaac auprès de la maison Hachette. L'éditeur publie un manuel d'histoire, celui d'Albert Malet. Il est urgent de rédiger des aide-mémoire qui prépareront les élèves au baccalauréat. Voilà  la tâche qu'Isaac accepte d'assumer. Ses liens avec Malet sont épisodiques. Il n'est qu'un collaborateur de second plan, un collaborateur, toutefois, qui écrit bien et donne entière satisfaction. Lorsque Jules Isaac reprend un poste dans l'enseignement secondaire, il poursuit sa collaboration, l'étend méme à  des manuels pour l'enseignement primaire supérieur.

Jules ISAACJules ISAACJules ISAAC

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Madame de LAFAYETTE

Publié le par Baldenberger

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Martin LUTHER KING

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Pierre LOTI

Publié le par Baldenberger

Pierre LOTI
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Je suis né Julien Viaud, à Rochefort le 14 janvier 1850 dans une famille modeste.

En 1865, je m’inscris en classe préparatoire à Paris, et j’entre à l'École navale en 1867.

Je deviens officier de marine, et je découvre l'Algérie, l'Amérique du Sud, puis l'île de Pâques et Tahiti en 1871. C'est à Tahiti que la reine Pomaré me surnomme Loti, nom d'une fleur tropicale.

En 1877, je découvre la Turquie, et je tire un premier texte des notes de mon journal, Aziyadé, publié en 1879 sans nom d'auteur. La suite, Fantôme d'Orient, est publiée en 1892.

En 1881, je publie mon premier roman signé du pseudonyme Pierre Loti, Le Roman d'un Spahi, inspiré de mon voyage au Sénégal.

De mon séjour à Tahiti, je tire Le Mariage de Loti publié en 1878, et qui me rend célèbre. Suit Mon frère Yves, publié en 1883. Je connais un grand succès avec Pêcheurs d'Islande (1886), tout comme avec Madame Chrysanthème (1887).

L’Académie française me consacre en 1891. Je publie, cette même année, un ouvrage autobiographique, "Le Livre de la pitié et de la mort". Très attaché au Pays basque, Je m'en inspire et publie Ramuntcho en 1897. Avec Les Désenchantées (1906), je connais aussi un autre grand succès. 

Je prends sa retraite militaire dans les années 1910 et continue à écrire.

Je meurs le 10 juin 1923 à Hendaye.

Pierre LOTI
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Nicolas COPERNIC

Publié le par Baldenberger

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Blaise PASCAL

Publié le par Baldenberger

Blaise PASCAL
Blaise PASCAL
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Blaise PASCAL
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Je suis né le 19 juin 1623 dans l'actuelle ville de Clermont-Ferrand.

Je montre rapidement des facultés pour l'étude des sciences.

Mon père me qualifierait d’« enfant précoce » et il me fait interrompre mes études : âgé de 16 ans, je rédige un "Traité des sections coniques" prometteur qui attire l'attention de René Descartes. À 19 ans, je crée une machine à calculer capable d'automatiser les additions et les soustractions. Je la nomme dans un premier temps "machine arithmétique" avant de lui donner le nom de "pascaline". J’en confectionne plusieurs exemplaires, dont certains sont aujourd'hui exposés au musée de Clermont-Ferrand et au musée des Arts et des Métiers à Paris. En 1654, je mets au point une résolution du problème des partis, une méthode dont vont s'inspirer les sciences économiques et sociales modernes. Mes autres inventions incluent la presse hydraulique, la brouette, la vinaigrette (voiture à porteur) et le haquet. 

Le duc de Roannez fait même appel à moi pour participer aux travaux d'assèchement du marais poitevin et à l'installation d'une ligne de transports en commun : sur ma proposition le 18 mars 1662, un système de transport en commun est élaboré à Paris. Sept carrosses publics sont mis en service entre la Porte Saint-Antoine et le Luxembourg. La course coûte 5 sols.

Je suis également écrivain-philosophe. Lorsque je publie en janvier 1656 "Les Lettres provinciales", je cherche à défendre mon ami Antoine Arnauld, un janséniste condamné par la Sorbonne pour ses opinions jugées hérétiques. Sous le pseudonyme de Louis de Montalte, je publie dix-huit lettres qui s'adressent aux Pères jésuites, et dont la première est datée du 23 janvier 1656. La controverse naît entre la vision catholique de l'homme guidé par Dieu et sur le libre-arbitre défendu par les jansénistes. Je débute les "Pensées" dont le titre d'origine était "Apologie de la religion chrétienne", visant à défendre la foi chrétienne. j’ y aborde de nombreux paradoxes philosophiques tels que l'infini et le néant, la raison et la foi, la vie et la mort, l'âme et la matière...

Dans le domaine des mathématiques, j’ai fait des travaux importants sur les probabilités. En 1659, je publie le « Traité de la roulette », un grand ouvrage sur les indivisibles.

Je m’éteins le 19 août 1662 à l’âge de trente neuf ans et laisse inachevée mon œuvre philosophique la plus importante : les "Pensées".

Blaise PASCAL
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Pierre de COUBERTIN

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Pierre de COUBERTIN
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Pierre de Coubertin né Charles Pierre Fredy, baron de Coubertin voit le jour le 1er janvier 1863 à Paris au sein d'une famille d'aristocrates.

Adolescent, il suit des études dans une école jésuite où il commence à s'intéresser aux sciences politiques. En 1880, alors qu'il obtient son baccalauréat, il décide de se détourner de la carrière militaire à laquelle il se destinait initialement. Il intègre l'École libre des sciences politiques et décroche un diplôme de droit en 1885.

Parallèlement, Pierre de Coubertin effectue des visites dans des universités britanniques et américaines. Là-bas, il se passionne pour les sports anglo-saxons et porte son attention sur le domaine de l'éducation. Séduit par le système éducatif anglais où le sport tient une place importante, Coubertin développe l'idée d'adapter le même modèle en France.

De retour de son séjour en 1887, il lance un vaste mouvement de réforme pédagogique visant à développer les activités physiques dans le système éducatif français. Multipliant les publications, il écrit des articles prônant la mise en place de l'éducation sportive dans les formations traditionnelles et crée plusieurs associations.

Coubertin qui milite également pour l'internationalisation du sport, évoque pour la première fois son idée de réorganiser les Jeux Olympiques en 1892. À force de persévérance, il y parvient et les restaure officiellement le 23 juin 1894. La même année, il fonde le Comité international olympique (CIO), qu'il préside jusqu'en 1925.

Le 6 avril 1896, s'ouvrent à Athènes les premiers Jeux olympiques de l'ère moderne. Les années suivantes, le caractère affirmé de Coubertin lui vaut de nombreuses inimitiés qui l'isolent. En 1936, son implication controversée dans le suivi des Jeux olympiques de Berlin, alors sous le contrôle de l'Allemagne nazie affecte également sa réputation. Victime d'une crise cardiaque,

Pierre de Coubertin meurt le 2 septembre 1937 à Genève en Suisse. Conformément à ses dernières volontés, son cœur fut inhumé près du sanctuaire d'Olympie en Grèce.

Pierre de COUBERTIN
Pierre de COUBERTIN
Pierre de COUBERTIN
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Pierre de COUBERTIN
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Pierre de COUBERTIN
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Pierre de COUBERTIN
Pierre de COUBERTIN
Pierre de COUBERTIN
Pierre de COUBERTIN

L’histoire est peu connue. Pierre de Coubertin, né en plein Paris, avait ses quartiers d’été en Alsace.

Le 11 mars 1895, le fondateur des Jeux olympiques, dans sa version moderne, se marie avec Christa Anna Marie Rothan, une Alsacienne. Alors, dès que le temps est au beau, il vient travailler à ses écrits au château de la belle-famille, à Luttenbach.

Après le decès de son beau-père, Jean Georges Gustave Rothan en 1890, le domaine passe aux mains de son gendre, le baron Pierre de Coubertin qui a épousé Marie Rothan.

Endommagé au cours de la Première Guerre mondiale, le château n'est pas réhabilité.

Il reste, aujourd’hui encore, un pan de mur, un porche en grès, une fontaine italienne du XVIII e siècle. Le parc est devenu un camping des Amis de la Nature en 1956.

Une plaque rappelle les séjours de Pierre de Coubertin à Luttenbach, de 1896 à 1914, elle a été posée près du portail extérieur.

Pierre de COUBERTIN
Pierre de COUBERTIN
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Publié dans TROMBINOSCOPE

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