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BOEING

Publié le par Baldenberger

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L’histoire débute à Chicago en 1916 quand William Boeing, passionné par les premiers modèles d’avions qui viennent de faire leur apparition, et son ami Conrad Westervelt de l’US Navy construisent leur premier avion, un hydroglisseur marqué de leurs initiales B&W, en 1916.

La première commande de l’entreprise devenue “Boeing Airplane Company” est décrochée auprès de la Navy en 1917 au moment de l'entrée en guerre des États-Unis. Plus tard, la deuxième guerre mondiale offrira également à Boeing une nouvelle fenêtre d’opportunité pour se développer.

Boeing P-12

Le Boeing P-12 est un avion militaire de l'entre-deux-guerres qui a servi comme avion de chasse dans la United States Army Air Corps de 1930 à 1941.

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Boeing PW-9

Le Boeing PW-9 ou FB-5 ou Model 15 / Model 67 est un avion militaire de l'entre-deux-guerres, avion de chasse biplan à cockpit ouvert, construit par Boeing dans les années 1920. Il a été employé par toutes les composantes des forces aériennes américaines de l'époque : l'United States Army Air Service, ancêtre de l'USAAF, sous la désignation PW-9.

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Boeing 314 Clipper

Le Boeing 314 est un hydravion produit à la fin des années 1930 et au début des années 1940. Son surnom est Clipper (pour reprendre le nom des clippers de la navigation à voile)

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Bombardier B 29 Superfortress

Le Boeing B-29 Superfortress est un bombardier lourd quadrimoteur à hélices et à long rayon d'action utilisé par les États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale et la guerre de Corée. Conçu par Boeing comme le Model 345 et développé à partir de 1938, le B-29 est l'un des plus gros avions utilisés lors de ces conflits

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Boeing 247

Le Boeing Modèle 247 fut un des premiers avions de transport à intégrer pleinement des avancées technologiques comme la construction tout métal, une structure semi-monocoque, une aile en porte-à-faux et un train d'atterrissage rétractable. L’avion comportait bien d’autres innovations, telles que l’emploi de gouvernes compensées, un pilote automatique et un système de dégivrage par boudins gonflables sur les ailes et l'empennage.

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Boeing 727

Le Boeing 727 est un avion de ligne triréacteur à fuselage étroit conçu et construit par Boeing entre 1963 et 1984. Il a été utilisé pour des vols court et moyen-courriers, et a connu plusieurs versions, dont des cargos.

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Boeing 737

Le Boeing 737 est un avion de ligne court à moyen-courrier biréacteur à fuselage étroit développé et construit depuis 1967 par la Boeing Commercial Airplanes. Initialement développé comme un dérivé des 707 et 727, plus petit et plus abordable, le 737 se décline en une famille de dix modèles pouvant emporter de 85 à 215 passagers.

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Boeing 747

Le Boeing 747 est un avion de ligne à réaction américain à fuselage large construit entre 1968 et 2022 par Boeing, souvent désigné par son qualificatif, Jumbo Jet ou Reine des Cieux. Sa « bosse » caractéristique à l'avant du fuselage fait du 747 un appareil particulièrement reconnaissable.

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Publié dans Transports

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Jean d'Ormesson

Publié le par Baldenberger

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Jean d'Ormesson

Né d'un père ambassadeur du Front populaire et ami de Léon Blum, Jean d'Ormesson se voit dispenser une éducation privilégiée, dans le respect des valeurs traditionnelles.

Évoluant dans un cadre libéral, il entame un parcours sans entrave. Élève brillant, il accumule très vite les diplômes : agrégé et diplômé d'études supérieures de philosophie, normalien... Cet érudit ne s'arrêtera pas là.

Jean Lefèvre, comte d'Ormesson, embrasse une carrière de haut fonctionnaire devenant président du Conseil international de la philosophie et des sciences humaines à l'Unesco.

Il s'essaie également à l'écriture : L'Amour est un plaisir, Du côté de chez Jean. Ses œuvres dénotent insouciance et joie de vivre.

Mais c'est en 1971 que débute réellement sa carrière littéraire, avec la parution de La Gloire de l'Empire, Grand prix du roman de l'Académie française. Académicien, il ne néglige pas pour autant son statut de directeur au journal Le Figaro. Aspirant à un monde “traditionnellement moderne”, il insuffle à ses écrits un peu de lui et ce n'est pas pour déplaire ! Mais, il ne fait pas que parler de lui-même et transmet à la nouvelle génération des réflexions philosophiques comme Le Rapport Gabriel ou encore Presque rien sur presque tout. En 2003, C’était bien raconte la vie de l’auteur et anticipe même sa mort. Avec Une fête en larme en 2005, il tente l’originalité et, toujours en se mettant en scène, il se met à raconter son roman idéal à un journaliste. Enfin en 2006, il se laisse aller et publie La Création du monde, roman d’un nouveau genre pour lui et très attendu par la critique littéraire. En 2007 paraît son nouveau roman Odeur du temps aux éditions Héloïse d’Ormesson, maison dirigée par sa fille. En 2009, il publie coup sur coup deux ouvrages, L’Enfant qui attendait un train, un album jeunesse, et Saveur du temps, le deuxième tome de ses chroniques au Figaro.

En avril 2015, Jean d’Ormesson rejoint la prestigieuse collection de la Pléiade. Il est le 16e auteur à y entrer de son vivant, après le poète Philippe Jaccottet en 2014.

Il décède dans la nuit du 4 au 5 décembre 2017.

http://evene.lefigaro.fr/celebre/biographie/jean-d-ormesson-1826.php

Publié dans TROMBINOSCOPE

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Ocotillo

Publié le par Baldenberger

Publié dans herbier philatélique

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Le tunnel sous la Manche

Publié le par Baldenberger

Le tunnel sous la Manche

Le tunnel sous la Manche est un tunnel ferroviaire majoritairement sous-marin reliant Folkestone, dans le sud-est du Royaume-Uni, et Peuplingues, près du terminal de Coquelles, dans le nord de la France, et donc le réseau ferroviaire britannique aux réseaux français et européen. Composé de deux tubes latéraux parcourus par des trains et d'un tube central de service plus petit, il est long de 50,5 kilomètres dont 38 percés sous la mer.

Le tunnel sous la Manche
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Jacques-Yves COUSTEAU

Publié le par Baldenberger

Publié dans TROMBINOSCOPE

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Alberto Santos-Dumont

Publié le par Baldenberger

Alberto Santos-Dumont
Alberto Santos-Dumont

Alberto Santos Dumont est né le 20 juillet 1873 à Cabangu (Brésil).


Il est le petit fils du Joaillier DUMONT François parti au  Brésil faire fortune.
Fils de Henrique Dumont, Ingénieur des Arts et Métiers,  constructeur de chemin de fer, riche exploitant  d'une plantation de café à Ribeirão Preto, São Paulo.


Durant ses années de scolarité, il va se passionner pour les  livres de Jules Verne, Cinq Semaines en  Ballon, de la Terre à la Lune, Vingt Mille Lieux Sous Les Mers ou encore Le tour du monde en 80 jours.


Il rêvera devant les légendes de Dédale, Ícare, l'histoire  d'Olivier de Malmesbury, le moine anglais qui au  XIème siècle, a construit une paire d'ailes et s'est lancé du sommet d'une tour, également devant les dessins de Leonardo da Vinci, la  tentative de Bartolomeu de Gusmão qui en  1709, tente de s’élever à Lisbonne, dans un ballon à air chaud ou encore devant les récits sur Pilâtre de  Rozier qui a essayé de traverser la  Manche en ballon.


Ce qui va réellement déclencher sa passion pour les objets  volants, c’est qu’un jour de foire, il voit un acrobate venant de l’étranger,  monter dans une nacelle de ballon, s’élever,  se lancer dans le vide avec un  parachute, et atterrir sous les applaudissements.

En 1891, son père Henrique, subit un grave accident de  cheval, entrainant la vente de l’exploitation agricole. La famille Dumont vient alors en France et s’installe à  Paris afin que Henrique Dumont se soigne. Son père  décède des suites de son accident l’année suivante.

Il  rentre à l’école des Arts et Métiers où il étudiera les matières préconisées par  son père.

En l’année 1898 Alberto se découvre une passion pour l’aéronautique,  il va se consacrer à l’art du vol libre en ballon ; il  va procéder à la fabrication d’un premier ballon  qu’il nommera « BRASIL ».

Pour ce faire il va rechercher des matériaux nouveau, plus  léger, pour confectionner son premier ballon : il va prendre de la soie.


Il fera sa première ascension le 4 juillet 1898 à Paris.

Devant ce succès, il va construire un second ballon de 500 m3 qu’il nommera  AMERIQUE,  et qui pourra transporter plusieurs personnes.

Avec l "Amérique" il va remporter un premier prix  en ayant atteint l'altitude la plus haute de ses douze concurrents
 

Après avoir saisi toutes les ficelles de l’aérostation par ballon  captif,  il va se lancer dans la mouvance des dirigeables.
Pour commencer il va s’intéresser au problème de l’orientation  des ballons. Il va concevoir une série de ballons qui prendront le nom de  Santos Dumont 1 puis 2 puis 3 et 4....

Ces deux premiers essais ne sont pas une réussite.


Mais par compte avec le santos Dumont n° 3, en date du 13  novembre 1890, il va effectuer plusieurs fois le tour de la Tour Eiffel et vient se poser sur le terrain  de Bagatelle.

Cet appareil  est de forme cylindrique. Alberto a remplacé le gaz de ville utilisé  pour les becs par de l’hydrogène.

D’autres incidents viendront noircir le tableau de Santos  Dumont : le n° 4 va également s’écraser contre un arbre. Le n° 5 subira le même sort.

En 1901, il construit le n° 6, et le 19 octobre il va gagner  le prix Deutsch de la   Meurthe. 

Avec cet  engin il va faire sa plus belle ascension, : il va partir de Vaugirard, passer par  la tour Eiffel et revenir à son point de départ en moins de 30 minutes.

Après ce succès, tous les grands d’Europe voudront le côtoyer. Le  gouvernement français l’incite à bâtir le premier aérodrome à Neuilly.

Santos Dumont va continuer ses expériences  mais, sur les plus lourds que l’air, maintenant qu’il a maîtrisé l’orientation  de ses ballons.

Il va construire le n° 7, comme il est superstitieux,  il construira le Santos Dumont n° 9,  sans que le 8 ne voit le jour.

Le dirigeable n° 9, portera le nom de « La baladeuse »,  il s’en servira pour se déplacer à Paris.

En 1905, Alberto Santos Dumont va s’intéresser aux  aéroplanes. Il va faire des essais avec des appareils qu’il fera tirer par des  animaux entre autre des ânes.

Il va accoupler un aéroplane à son ballon portant le n° 14, avion  qui est équipé d’un moteur à pétrole et qui repose sur 3 roues de bicyclette. Ce dirigeable, surnommé "Antoinette", volera le 30 octobre 1906, sur 60 mètres et à 3 mètres d'altitude, au-dessus du terrain de Bagatelle.

Le 12 novembre 1906, avec un biplan à moteur  d'une puissance de 50 chevaux, il vole, cette fois ci, sur la distance de 220 mètres, à la vitesse  de plus de 41 km  à l'heure, pendant 21 secondes à 6 mètres de hauteur toujours à Bagatelle, ancien  le terrain de l'Aéro-club de France

Santos Dumont construira aussi à partir de 1909,  des monoplans motorisés qu'il appellera des "Demoiselles".

En 1914, il essayera, en vain, de convaincre les pays qui se  sont équipés d’une flotte aérienne, de ne pas armer leurs avions

Malade depuis 1910, Alberto Santos Dumont, retourne au  Brésil en 1928, où il fera quelques meetings.

Il se suicidera le 23 juillet 1932, ne supportant pas l’utilisation  meurtrière de son invention par l'armée brésilienne contre ces compatriotes.

 

Alberto Santos-Dumont
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Alberto Santos-Dumont
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Publié dans aviation, Transports

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Wolfgang Amadéus MOZART

Publié le par Baldenberger

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Le baeckaoffe

Publié le par Baldenberger

Le baeckaoffe
Le baeckaoffe

Le Baeckaoffe ou Baeckeoffe était autrefois cuit dans le four du boulanger d’où il a tiré son nom. Il s'agit d'un plat "traditionnel" de la cuisine alsacienne, à base de pommes de terre (à partir de la diffusion du tubercule dans les campagnes de la région soit à la fin du XVIIIe siècle), de légumes, et d'assortiments de viandes marinées avec des épices et du vin blanc des vignobles d'Alsace. Le tout étant longuement cuit dans une poterie traditionnelle en argile.

Le baeckaoffe
Le baeckaoffe
Le baeckaoffe

Publié dans patrimoine

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Nicolas Jacques CONTE

Publié le par Baldenberger

Nicolas Jacques CONTE
Nicolas Jacques CONTE

C’est au XVI ème siècle que l’on inventa le crayon.

Cette « mine de plomb » qui est en fait fabriquée à base de graphite est une véritable légende qui démarre en 1565, avec le naturaliste suisse Conrad Gessner qui publie le dessin d’une mine de graphite glissée à l’intérieur d’un tube de bois. C’était la première représentation d’un crayon de bois.

En 1795, tout bascule, la guerre prive la France de crayons Anglais et Allemands. C’est alors que Napoléon Bonaparte fait son apparition. Il charge alors Nicolas-Jacques Conté de fabriquer un produit de remplacement.

Nicolas-Jacques Conté a  l’idée de broyer du graphite avec de l’argile en poudre qu’il fait ensuite cuire comme de la porcelaine. Il met ce mélange dans un four et obtient une mine utilisable. La mine de crayon moderne est donc née. Cet alliage permet divers rendus pour le dessin. Plus il y a d’argile, plus la pointe est sèche. Par la suite, il débutera la production à grande échelle.

Conté fonde alors son usine à Paris, il reçoit la médaille d’or des Arts et Métiers en 1800, grâce à son invention. Cette nouvelle méthode se répand rapidement et est adoptée par tous les fabricants de crayons.

L’entreprise est ensuite rachetée par l’enseigne BIC.

https://www.vertlapub.fr/lhistoire-du-crayon-francais/

Nicolas Jacques CONTE
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La Garonne

Publié le par Baldenberger

La Garonne

La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique ; son estuaire commun avec la Dordogne est la Gironde.

La Garonne
La Garonne

La Garonne prend sa source dans les Pyrénées, dans la région d’Aragon en Espagne. Elle coule ensuite vers le nord et traverse la région de Midi-Pyrénées en France, passant par Toulouse et Bordeaux, avant de se jeter dans l’océan Atlantique près de la ville de Royan.

La Garonne
La Garonne
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La Garonne
La Garonne
La Garonne
La Garonne
La Garonne
La Garonne
La Garonne

La Garonne traverse des territoires aux caractéristiques différentes tout en créant, par sa présence, un lien entre eux :

  • La Garonne Pyrénéenne : rivière torrentielle.
  • La Garonne de Piémont à Cazères : rivière vive qui s'élargit avec de nombreux aménagements hydroélectriques.
  • La Garonne de Cazères à Toulouse : rivière plus encaissée.
  • Le Garonne toulousaine jusqu'au Tarn : rivière dite « libre » débordante lors des crues.
  • La moyenne Garonne : secteur où ont lieu les plus grandes inondations sous l’influence conjuguée du Tarn et de la Garonne.
  • La Garonne maritime : sous l'influence de la marée.

Publié dans patrimoine

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