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Emmanuel MOUNIER

Publié le par Baldenberger

Emmanuel MOUNIER
Emmanuel MOUNIER

Emmanuel Mounier, né le 1 er avril 1905 à Grenoble et mort le 22 mars 1950 à Châtenay-Malabry, est un philosophe catholique français, fondateur de la revue Esprit et à l'origine du courant personnaliste en France.

https://www.emmanuel-mounier.org/biographie

 

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André JAPY

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André JAPY
André JAPY
André JAPY
André JAPY
André JAPY
André JAPY

André Japy, né le 11 juillet 1904 à Beaucourt et mort en 1974, est un pionnier français de l'aviation, issu de la dynastie industrielle comtoise des Japy. Il fut détenteur de plusieurs records de longues distances et reçut en 1938, de la Fédération aéronautique internationale, la médaille Louis Blériot pour l'ensemble de ses exploits.

http://www.beaucourt.com/andre_japy.htm

 

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Pierre DAC

Publié le par Baldenberger

Pierre DAC
Pierre DAC

André Isaac dit Pierre Dac

 

Je suis né le 15 août 1893 à Châlons-sur-Marne (Marne).

J'ai été  un humoriste et comédien français. 

D'origine modeste, je vis, après la « Grande guerre », de petits métiers sur le pavé parisien. Dans les années 1930, je deviens chansonnier au cabaret de la Lune rousse, à Montmartre.

Créateur dans les années 1930 du journal humoristique L'Os à moelle, Je suis l'inventeur du Schmilblick, un objet rigoureusement intégral qui ne sert absolument à rien et peut donc servir à tout. Je popularise également l'expression « loufoque », formée à la façon du louchébem. 

Pendant la Seconde Guerre mondiale, j'ai aussi été une figure de la Résistance contre l'occupation de la France par l'Allemagne nazie grâce à mes interventions sur Radio Londres. 

Après la guerre, je constitue un fameux duo humoristique avec Francis Blanche, et je conçois et anime les populaires séries radiophoniques « Signé Furax » (1968-1969) et « Bons baisers de partout » (1966-1974).

En 1965, je me déclare candidat à la présidentielle, soutenu par le MOU (Mouvement ondulatoire unifié, dont le slogan était : "Les temps sont durs ! Vive le MOU !"). A la demande de l'Élysée, je dois renoncer et abandonne ma campagne.

Malgré le succès, je suis resté un homme modeste, presque effacé.

Je meurs  le dimanche 9 février 1975 à l'âge de 81 ans d'un cancer des poumons à Paris (France). Je suis inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division 87).

Pierre DAC
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Lucien MURATORE

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Lucien MURATORE
Lucien MURATORE
Lucien Muratore dans Déjanire de Camille Saint-Saëns.

Lucien Muratore dans Déjanire de Camille Saint-Saëns.

Fils d'un immigrant piémontais, Lucien Muratore commence très jeune une carrière de comédien au théâtre des Variétés de Marseille et il est le partenaire de Réjane et Sarah Bernhardt, au Théâtre de l'Odéon. Il joue La Dame de chez Maxim aux Théâtre des Nouveautés.

Il étudie la musique au conservatoire de sa ville puis travaille à Paris avec Edmond Vergnet, le premier Samson à l'Opéra de Paris. Muratore commence comme baryton mais sa voix se développe vers l'aigu et il débute le à l'Opéra-Comique à Paris, où il participe à la création de La carmélite de Reynaldo Hahn. En 1904, il chante Werther à La Monnaie de Bruxelles.

En 1905, il débute à l'Opéra de Paris. Il se voit rapidement confier les principaux rôles de ténor, notamment dans Carmen (don José), Paillasse (Canio) et Tosca (Cavaradossi). Il crée également, entre autres, le rôle de Prinzivalle dans Monna Vanna d'Henry Février en 1909 à l'Opéra de Paris, de Bacchus dans Bacchus triomphant de Camille Erlanger à Bordeaux en 1909 et celui d'Hercule dans Déjanire de Camille Saint-Saëns en 1911 à l'Opéra de Monte-Carlo.

À partir de 1913, il séjourne souvent aux États-Unis. Pendant la Première Guerre mondiale, il milite en faveur de l'intervention américaine en Europe.

Parallèlement à sa carrière sur scène, il tourne quelques films muets puis parlants dont Le Chanteur inconnu (1931). Entre 1914 et 1916, il tourne plusieurs films (Manon Lescaut, La sposa della morte et La rosa di Granata) avec sa femme, depuis 1913, la cantatrice italienne Lina Cavalieri dont il se sépare en 1919. Le divorce est lui prononcé en 1927.

Après ses adieux à la scène en 1931 dans Pénélope, il se consacre progressivement à l'enseignement du chant et de la mise en scène.

Il a été maire du village de Biot (Alpes-Maritimes) de mai 1929 jusqu'à sa démission en 1934. Durant son mandat, Lucien Muratore cherche et trouve des financements dans le but de réaliser un nouveau pont, mieux adapté à la circulation automobile, reliant Biot à la ville d'Antibes.

En avril 1944, il accepte le poste de directeur de l'Opéra-comique, dont il est relevé dès le 1er septembre suivant, quelques jours après la libération de Paris.

Ténor français le plus populaire de son époque, il est enterré au cimetière Saint-Pierre à Marseille. Sur sa tombe le sculpteur Antoine Sartorio a représenté Orphée et une lyre avec la mention « Le chant, don divin »

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Adam MIEROSLAWSKI

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Adam MIEROSLAWSKI
Adam MIEROSLAWSKI
Adam MIEROSLAWSKI

Émigré polonais, Adam Mieroslawski, est né en Pologne à Strykow le 23 avril 1815, Très tôt, il aspire à devenir marin et décroche plusieurs embarquements » long cours dans la marine de commerce. En 1842, de Maurice où il est installé, il décide d’aller chasser l’éléphant de mer à Kerguelen.
C’est au retour de cette campagne qu’il découvre l’île Saint-Paul et son abondance de poissons. De retour à Maurice, il décide en mars 1843 d’organiser une expédition à Saint-Paul afin d’y monter une pêcherie pour approvisionner l’île Bourbon en poissons. Cette première expédition est très prometteuse et à son retour, il demande au gouverneur de Bourbon, l’amiral Bazoche, de prendre possession de Saint-Paul et Amsterdam au nom de la France. Ce dernier accorde à Mieroslawski ta concession de pêche et décide d’envoyer à Saint-Paul un petit détachement militaire d’une dizaine d’hommes pour prendre possession des deux îles au nom de la France.
La prise de possession est effectuée à Amsterdam le 1er Juillet et à Saint-Paul le 3 juillet 1843 où le débarquement des hommes et du matériel est effectué. En avril 1844 le gouverneur Bourbon ordonne le retour de la petite garnison sur ordre de Paris, car l’Angleterre conteste la prise de possession,

Cet aventurier aux multiples facettes, disparu en 1851 dans des circonstances troubles durant un voyage entre La Réunion et l’Australie, aura incontestablement contribué à ce que la France prenne possession et maintienne sa souveraineté sur les îles Saint-Paul et Amsterdam.

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Lucie RANDOIN

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Lucie Randoin, née le 11 mai 1885 à Bœurs-en-Othe et morte le 13 septembre 1960 à Paris, est une biologiste et hygiéniste française. Elle est la première femme à avoir enseigné à la faculté de médecine de Paris et la première femme biologiste médicale à l'Académie de médecine après Marie Curie.

Lucie RANDOIN
Lucie RANDOIN
Lucie RANDOIN
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Marc BLOCH

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Marc BLOCH

Je suis  né le 6 juillet 1886 à Lyon. Je suis le fils de Gustave Bloch, professeur d'histoire et d'antiquités gréco-romaines à la faculté des Lettres de Lyon, et de Sara Ebstein.

Je fais mes études secondaires au lycée Louis-le-Grand de Paris, puis j' entre à l'École Normale Supérieure en 1904. En 1908, je suis reçu à l'agrégation d'histoire.

De 1912 à 1914, j' enseigne l'histoire et la géographie successivement aux lycées de Montpellier et d'Amiens.

Mobilisé le 2 août 1914 comme sergent d'infanterie, je termine la guerre comme capitaine, décoré de la Croix de Guerre (4 citations) et de la Légion d'honneur.

En 1919, j' épouse Simone Vidal et, la même année, je suis nommé chargé de cours d'histoire du Moyen-âge à la Faculté des Lettres de l'université de Strasbourg, puis j' obtiens la chaire d'histoire du Moyen-âge en 1927.

C'est à Strasbourg que je rencontre Lucien Febvre avec lequel je fonde en 1929 les "Annales d'histoire économique et sociale". Dès lors, cette "Ecole des Annales" contribue profondément au renouvellement de la discipline historique, par la mise en évidence de nouvelle problématiques : l'étude des mentalités, l'anthropologie, l'économie et la société se trouvent désormais au cœur de la recherche scientifique.

Mes années à Strasbourg voient également naître la majeure partie de mon œuvre universitaire : je publie en 1920 ma thèse de doctorat d'État, "Rois et Serfs" : un chapitre d'histoire capétienne, que j' ai soutenue en Sorbonne. En 1924 paraît mon ouvrage "Les Rois thaumaturges" et en 1927, "Les Caractères originaux de l'histoire rurale française".

En 1936, je suis nommé maître de conférence d'histoire économique à la Sorbonne, puis titulaire de la chaire en 1938.


Mobilisé le 23 août 1939 en Alsace, je suis  muté dans le Nord, alors que paraît le premier tome de "La société féodale". En mai-juin 1940, je prends part à la campagne du Nord, puis je rejoins ma famille dans la Creuse après l'Armistice du 2 juillet. C'est à cette époque que je publie le second tome de "La société féodale" et que j' écris "L'étrange défaite" (publié en 1946).

Exclu de la fonction publique conformément aux décrets de 1940 sur le statut des juifs,je suis "relevé de déchéance" pour "services scientifiques exceptionnels rendus à l'Etat français" et je reprends mon enseignement en janvier 1941, à la faculté des lettres de l'Université de Strasbourg repliée à Clermont-Ferrand.

Mais je suis vite muté à la faculté des lettres de Montpellier (1941-1942), où je participe à la mise en place du mouvement de résistance "Combat" et je collabore au "Cercle de Montpellier", l'une des préfigurations du "Comité général d'études" (CGE). Je rédige en outre un nouvel ouvrage : "Apologie pour l'histoire ou le métier d'historien" (publié en 1949).

De 1943 à 1944, je suis à Lyon. J' entre dans la vie clandestine et j'adhère au mouvement "Franc-Tireur", dont je deviens membre du directoire national. Je mets en place les Comités de Libération de la région et je prépare le "plan d'insurrection de la région de Lyon". Enfin, je collabore activement à la revue Les Cahiers Politiques, organe du CGE à Paris.

Arrêté par la Gestapo le 8 mars 1944, je suis torturé et emprisonné à la prison de Montluc. Le 16 juin, avec 28 autres prisonniers, je suis conduit à Saint-Didier-de-Formans, près de Lyon, où l'on me fusille.

Marc BLOCH

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Gerardus MERCATOR

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Gerardus Mercator et dans les livres français sous celui de Gérard Mercator, né le 5 mars 1512 à Rupelmonde et mort le 2 décembre 1594 à Duisbourg, est un mathématicien, géographe et cartographe flamand, inventeur de la projection cartographique qui porte son nom. Pionnier dans l’histoire de la cartographie, il est considéré comme l’un des fondateurs et l’un des membres les plus éminents de l’école de cartographie flamande du XVIe siècle, avec Gemma Frisius et Abraham Ortelius.

Gerardus MERCATOR
Gerardus MERCATOR
Gerardus MERCATOR
Gerardus MERCATOR
Gerardus MERCATOR
Gerardus MERCATOR
Gerardus MERCATOR
Gerardus MERCATOR
Gerardus MERCATOR
Gerardus MERCATOR

La projection de Mercator ou projection Mercator est une projection cartographique de la Terre, dite « cylindrique », tangente à l'équateur du globe terrestre sur une carte plane formalisée par le géographe flamand Gerardus Mercator, en 1569.

Gerardus MERCATOR
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Juliette GRECO

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Juliette Gréco, née le 7 février 1927 à Montpellier et morte le 23 septembre 2020 à Ramatuelle, est une chanteuse et actrice française, surnommée « La muse de Saint-Germain-des-Prés ». Figure emblématique de la chanson française « à texte », avec une carrière s’étalant sur près de sept décennies, elle est notamment célèbre pour avoir été l'interprète d'auteurs tels que Raymond Queneau, Jean-Paul Sartre, Jacques Prévert, Léo Ferré, Boris Vian, Guy Béart et Serge Gainsbourg.

https://juliettegreco.fr/biographie/

 

Juliette GRECO
Juliette GRECO

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Alice MILLIAT

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