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La capucine

Publié le par Baldenberger

La capucine
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La capucine
timbre d'entreprise (restaurant la capucine à Giverny)
timbre d'entreprise (restaurant la capucine à Giverny)

timbre d'entreprise (restaurant la capucine à Giverny)

"capucines rouges" 1937 David MILNE (Musée des Beaux Arts du Canada)
"capucines rouges" 1937 David MILNE (Musée des Beaux Arts du Canada)
"capucines rouges" 1937 David MILNE (Musée des Beaux Arts du Canada)

"capucines rouges" 1937 David MILNE (Musée des Beaux Arts du Canada)

La capucine

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Palais de l'Elysée

Publié le par Baldenberger

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Néflier

Publié le par Baldenberger

Néflier
Le Néflier d'Allemagne (Mespilus germanica) est un arbre de taille moyenne, aux fleurs blanches terminales, cultivé pour ses fruits bruns, les nèfles, à récolter après les premières gelées et consommer après une sur-maturation d'environ 15 jours, jusqu'à ce que la peau ramollisse.
Le Néflier d'Allemagne (Mespilus germanica) est un arbre de taille moyenne, aux fleurs blanches terminales, cultivé pour ses fruits bruns, les nèfles, à récolter après les premières gelées et consommer après une sur-maturation d'environ 15 jours, jusqu'à ce que la peau ramollisse.

Le Néflier d'Allemagne (Mespilus germanica) est un arbre de taille moyenne, aux fleurs blanches terminales, cultivé pour ses fruits bruns, les nèfles, à récolter après les premières gelées et consommer après une sur-maturation d'environ 15 jours, jusqu'à ce que la peau ramollisse.

Le bibassier de son vrai nom le néflier du japon a été introduit à La Réunion en 1825, présent dans les jardins et les vergers, cultivé pour son fruit acidulé et parfumé

NéflierNéflier
NéflierNéflier
Néflier

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HANOMAG

Publié le par Baldenberger

HANOMAG

Hanomag (Hannoversche Maschinenbau AG) était une entreprise allemande fondée en 1871, spécialisée dans la construction de machines agricoles et de locomotives à vapeur, d'automobiles, de tracteurs, de camions et d'engins industriels.

la division automobile a été dissoute en 1951

La Hanomag 2/10 PS était une petite voiture produite par Hanomag de 1924 à 1928.

HANOMAG
HANOMAG
HANOMAG

Publié dans Automobile

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Charles PEGUY

Publié le par Baldenberger

Charles PEGUY
Charles PEGUY
Charles PEGUY
Charles PEGUY
Charles PEGUY

Je suis né dans une famille pauvre. Ma mère, veuve, fabriquait des chaises pour gagner sa vie. Mon père, Désiré Péguy, était un ébéniste, décédé en 1874  des suites des blessures reçues au combat.

Demi-boursier d’État, j'ai étudié  à l’École normale supérieure  au  Lycée Lakanal à Sceaux , où j'ai assisté  les conférences de Henri Bergson et Romain Rolland ,  avec qui je suis devenu ami. J' ai officiellement quitté l’École Normale, sans obtenir de diplôme, en 1897, même si j'ai continué à assister à certaines conférences en 1898. Influencé par Lucien Herr (bibliothécaire de l’École Normale),je suis devenu un ardent défenseur de Dreyfus.

En 1897, à 24 ans, j'ai épousé Charlotte-Françoise Baudoin; nous avons eu une fille et trois fils, dont l’un est né après ma mort. Autour de 1910, je suis tombé profondément amoureux de Blanche Raphaël, une jeune amie juive, mais je suis  resté fidèle à ma femme.

 

Depuis ma jeunesse, j'ai été influencé par le socialisme. En 1895, je  rejoins le Parti socialiste. De 1900 à ma mort en 1914, j'ai été le principal contributeur et le rédacteur en chef du magazine littéraire, Les Cahiers de la Quinzaine, qui a d’abord soutenu  Jean Jaurès, le fondateur du Parti Socialiste. J' ai finalement décidé de ne plus soutenir Jaurès   car je le considère comme un traître à la nation et au socialisme. Dans les Cahiers, j'ai publié non seulement mes propres essais et ma poésie,  mais aussi les travaux des grands auteurs contemporains tels que Romain Rolland .

Ma pièce de théâtre en vers libres, « Le Porche du Mystère de la deuxième vertu » (1912) a dépassé  plus de 60 éditions en France. C’était un livre favori de Charles de Gaulle .

Lieutenant de réserve et mobilisé au front, je suis mort dans la bataille, une balle dans le front, dans les Villeroy, Seine-et-Marne au cours de la Première Guerre mondiale, le jour avant le début de la bataille de la Marne, alors que j'exhortais ma compagnie à ne pas céder un pouce de terre française à l’ennemi.

Publié dans TROMBINOSCOPE

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Georges MATHIEU

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La tour de PISE

Publié le par Baldenberger

La tour de PISE

Avec son inclinaison surprenante, la Tour de Pise est un édifice plein d’histoire.

La tour de Pise est le campanile de la cathédrale Notre-Dame de l’Assomption de Pise, en Toscane.

Elle est située à proximité du chevet de la cathédrale et fait partie des monuments de la piazza dei Miracoli (la « place des Miracles »), inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Depuis 1991, il est impossible de visiter la Tour de Pise. Pour des raisons de sécurité, l’édifice est interdit au public. Le risque d’effondrement est important et le monument est en rénovation depuis plusieurs années.

Il a fallu trois phases et 177 ans pour construire la Tour de Pise. L’architecte Bonanno Pisano commence la construction en 1173 avec le premier étage qui était entouré de 15 colonnes en marbre blanc avec des chapiteaux classiques et arcs aveugles. Avec la construction du troisième étage en 1178, la tour s’inclina de 5 cm. au sud-est, en raison du sous-sol instable sur lequel elle avait été élevée, cessant ainsi sa construction. Cette période fut très importante car elle permit au terrain de se tasser, sinon la tour se serait effondrée.

 

La tour de PISE
La tour de PISE
La tour de PISE
La tour de PISE

Publié dans patrimoine

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Agapanthe

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Gustave CAILLEBOTTE

Publié le par Baldenberger

Gustave CAILLEBOTTE

"Clos des abbesses" 1871

Collection privée

Gustave CAILLEBOTTE
Gustave CAILLEBOTTE

"Pont de l'Europe" 1876

Musée du Petit Palais PARIS

Gustave CAILLEBOTTE
Gustave CAILLEBOTTE

"raboteurs de parquet" 1876

Gustave CAILLEBOTTE
Gustave CAILLEBOTTE

"l'homme au balcon, bd Haussmann" 1880

Collection particulière

Gustave CAILLEBOTTE
Gustave CAILLEBOTTE

"Jardin à Trouville" 1882

Gustave CAILLEBOTTE
Gustave CAILLEBOTTE

"autoportrait" 1892

Musée d'Orsay PARIS

Gustave CAILLEBOTTE
Gustave CAILLEBOTTE
Gustave CAILLEBOTTE

"linge séchant, petit Gennevilliers" 1892

collection particulière

Gustave CAILLEBOTTE
Gustave CAILLEBOTTE

"bouquet de fleurs"

Musée Bonnat-Helieu BAYONNE

Gustave CAILLEBOTTE
Gustave CAILLEBOTTE

C’est à Yerres, en Essonne, que Gustave Caillebotte a vécu pendant presque 20 ans. C’est aussi dans cette superbe propriété qu’il a peint près de 80 tableaux.

Un endroit inspirant qui nous replonge dans l’univers de cette famille,aisée du 19e siècle.

Gustave CAILLEBOTTE
Gustave CAILLEBOTTE
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Le pavot bleu

Publié le par Baldenberger

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