La Garde Suisse est le corps chargé de la sécurité de l’Etat dans la Cité du Vatican.
Les Gardes Suisses s’occupent de la surveillance, la sécurité et la protection du Pape au sein du Palais Apostolique, ainsi que des services honorifiques en cérémonies, audiences et réceptions. Ils gèrent également le contrôle de l’accès au Vatican et ils protègent le Colegio Cardenalicio lors des périodes de siège vacant.
Le corps fut créé le 21 janvier 1506, par le Pape Jules II qui a demandé que les nobles suisses, soldats pour sa protection, forment une compagnie de 150 hommes.
La basilique Saint-Pierre souvent appelée Saint-Pierre de Rome est l'édifice religieux le plus important du catholicisme. Elle est située au Vatican, sur la rive droite du Tibre, et sa façade architecturale s'ouvre sur la place Saint-Pierre.
La Place Saint-Pierre est bordée de deux grandes galeries de colonnes : 284 colonnes qui donnent sa forme ronde à la place et qui fait converger le regard vers la basilique.
Le Bernin, l’architecte de la place, a conçu une ellipse partant de la basilique pour enlacer et protéger les croyants se tenant devant l’édifice. Un de ses dessins montre qu’il a imaginé cette colonnade colossale comme les deux bras d’un corps idéal, dont la coupole serait la tête.
Elle est couronnée par une balustrade ornée de 140 statues représentant les saints et les Pères de l’Eglise.
La place Saint-Pierre, ou Piazza San Pietro en italien, fut construite entre 1656 et 1667 par Gian Lorenzo Bernini, dit Le Bernin, et commandée par le pape Alexandre VII.
Au début du 16ème siècle, la place était rectangulaire, non pavée et avec un fort dénivelé entre l’entrée de la Basilique et le début du quartier du Borgo.
L’objectif du pape était que le plus grand nombre de personnes possibles puisse voir et entendre le pape donner sa bénédiction depuis sa fenêtre.
Deux fontaines sont placées de chaque côté de l’obélisque, accentuant la symétrie de l’ensemble
La première basilique, appelée Basilique de Constantin, fut construite en seulement 30 ans, au 4ème siècle, à l’endroit où le tombeau de Saint-Pierre se trouvait.
Lors des siècles qui suivirent, cette basilique prit de plus en plus d’importance dans le monde catholique.
Mais après de nombreux pillages et des reconstructions successives, il fut décidé de raser la Basilique de Constantin, 1100 ans après sa construction.
La Basilique Saint-Pierre actuelle fut construite entre 1506 et 1626 dans le pur style Renaissance.
De nombreux architectes et artistes participèrent à la construction, dont Raphael et Michel-Ange.
La basilique Saint-Pierre présente une architecture de style baroque. Elle reprend le style du Panthéon de Rome, mais Michel-Ange en modifie la conception finale pour y inclure les piliers de soutien destinés à soutenir le gigantesque dôme. Le plan de Bramante prévoyait de calquer la basilique sur une croix latine.
L'extérieur de la basilique est décoré de sculptures. Sur la façade, on peut observer des colonnes corinthiennes ornées de statues des apôtres de Jésus. Deux statues de taille imposante représentant saint Pierre et saint Paul sont également placées à l'entrée.
Le dôme de Saint-Pierre s’inspire du Panthéon d’Agrippa et aussi de la coupole florentine de Brunelleschi. C’est le plus grand dôme du monde.Il se dresse au-dessus de l'autel et atteint une hauteur totale de 136 mètres à partir du sol.
Le Bernin a réalisé la majeure partie de la décoration qui est d’un baroqueécrasant. Le baldaquin fut commandé par le pape Urbain VIII Barberini (1623-1644) pour remplir le "vide" sous la coupole en créant ainsi un mouvement ascensionnel.
Haut de vingt-neuf mètres, le baldaquin de Saint-Pierre fut construit entre 1624 et 1633. Il est surmonté d’un globe terrestre et d’une croix. Il laisse apercevoir la transition du courant Maniériste au Baroque. “Ses dimensions sont imposantes et l’élan qu’il imprime à l’espace est digne du génie des deux responsables de la partie centrale de l’église, Michel-Ange et Bramante”.
La Porte Sainte est une porte ouverte par le pape pour marquer symboliquement le commencement de l' Année saint.
La Porte sainte se trouve sous le portique de la basilique Saint-Pierre C'est l'une des cinq portes de bronze donnant accès à la Basilique.
Cette porte de bronze est ouverte tous les 25 ans au début et à la fin du Jubilé.
La porte sainte actuelle en bronze basilique Saint Pierre a été sculptée en 1948 par Vico Consorti. Il a été choisi après que l'Église catholique a lancé un concours pour concevoir et réparer les anciennes portes en bois pour le Jubilé de 1949 à 1950. La porte s'est ouverte la veille de Noël en 1949, montrant son 16 scènes bibliques se concentrant sur des histoires de miséricorde et de pardon. Ces scènes ont été sculptées dans du bois finalement remplacées par du bronze, créant un design plus durable que l'on peut voir aujourd'hui.
Le pape François a ouvert la porte lors d’une célébration solennelle le dimanche 8 décembre 2015. Il a été le premier à en franchir le seuil. Il a présenté le Livre des Évangiles pour signifier que le Christ nous invite à sa suite. Puis il a proclamé l’Évangile de Luc : « L’esprit du Seigneur est sur moi, car le Seigneur m’a donné l’onction ; il m’a envoyé porter la bonne nouvelle aux pauvres, […] proclamer une année de grâce de la part du Seigneur. »
Dans les années 1870, l’Hôtel des Postes installé depuis le XVIIIe siècle dans l'hôtel d'Armenonville, au centre de Paris près du Louvre, souffre de l'exiguïté de ces locaux inadaptés à l'essor du Courrier.
Au XIXe siècle, les grandes percées haussmanniennes modernisent de façon décisive le centre de Paris.
Inauguré le 14 juillet 1888, l’hôtel des Postes de Paris est un symbole du nouveau centre de Paris de l’époque.
Érigé au cœur d’un quartier des Halles complètement rénové durant le second Empire et situé à deux pas des plus beaux monuments, la nouvelle Poste du Louvre devient rapidement un bâtiment central et incontournable de la modernisation de Paris. L’architecte Jules Guadet le souhaite novateur, et pour ce faire, il intègre au projet une dimension écologique, prémisse des enjeux d’aujourd’hui. La façade en pierre contribue notamment à l’inertie thermique des lieux, les déjections des chevaux sont réutilisées dans le système de chauffage pulsée et la grande verrière permet de faire entrer de la lumière naturelle dans le bâtiment afin de limiter la consommation d’électricité.
La Poste du Louvre restera ainsi en fonction jusqu’en 2009, année durant laquelle il est décidé de moderniser le bâtiment et de le rendre accessible au public. Laurent Taïeb se saisit alors de ce projet et travaille à la réalisation et à la concrétisation d’un rêve : celui de l’ouverture d’un hôtel. Neuf ans de travaux seront nécessaire pour faire renaître cette icône parisienne en lui ajoutant en son cœur un hôtel de luxe.
La Villette est à l'origine le nom d'une commune du département de la Seine, annexée à Paris en 1859.
Le parc de la Villette, est établi sur le site des abattoirs de la Villette, construits en 1867 sur décision de Napoléon III et du préfet Haussmann.
Le , le gouvernement Messmer annonce la fin des activités industrielles et commerciales de la Villette et de ses abattoirs, précisant seulement l'imminence d'une « opération d'urbanisme de grande envergure »
La Villette deviendra un vaste ensemble culturel.
Inauguré en 1987, le Parc de la Villette célèbre la culture décloisonnée
Le parc de la Villette est traversé en son milieu par le canal de l'Ourcq, entre la porte de la Villette au nord à la porte de Pantin au sud. Deux passerelles piétonnes enjambent le canal, qui font la liaison entre le nord et le sud. Depuis 2008, un pont flottant mobile est installé en été, à mi-chemin entre ces deux passerelles, pour faciliter le passage des promeneurs, des cyclistes et des personnes à mobilité réduite.
Quartier situé en dehors de Paris jusqu’en 1860, ses abords étaient réputés pour son tristement célèbre Gibet de Montfaucon, mais aussi et surtout pour ses carrières de Gypse.
En effet, depuis le 16e siècle, cette zone de Paris était utilisée pour l’extraction de Gypse, et ce jusqu’à son annexion à Paris sous Napoléon III. Lors de l’agrandissement de Paris en 1860, Napoléon III décida de transformer l’ancienne carrière de Gypse en un magnifique jardin. Si l’ensemble sera terrassé et remblayé pour créer des aménagement paysagers, les reliefs parc proviennent des anciens creusements effectués pour extraire le Gypse.
Le Parc des Buttes-Chaumont a été inauguré le 1er avril 1867, à l’occasion de l’Exposition universelle organisée à Paris.
Située dans, dans le quartier de Clignancourt, la butte Montmartre est aussi le point culminant de la capitale française avec quelques 130 mètres d’altitude. À son sommet se trouve, de son nom complet, la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, une église de style romano-Byzantin, bâtie entre 1875 et 1923. Elle est reconnaissable entre mille avec sa roche blanche (le travertin) issue des carrières de Château-Landon, son grand dôme circulaire et ses tourelles.
Les origines de la butte Montmartre remontent à l’Antiquité, à une époque où le polythéisme et la religion païenne s’imposaient à tout un chacun. Ainsi, la butte Montmartre était dédiée au dieu romain Mercure (Hermès chez les Grecs) : messager des dieux, en particulier de Jupiter (Zeus), Mercure est aussi le dieu des voyageurs et des commerçants. C’est lui qui conduit les âmes des défunts aux Enfers, où les trois juges — Minos, Rhadamanthe et Eaque — décident de la destination finale attribuée à chaque âme.
À cette époque, la butte Montmartre était exploitée pour l’extraction du gypse qui permettait notamment de fabriquer du plâtre. Au IIIe siècle, la butte est devenue le symbole des martyrs, surnommée Mont des martyrs : Montmartre abrita ainsi la dépouille de Saint-Denis, premier évêque de Paris, jusqu’au début du VIe siècle.
Par la suite, des abbayes, des couvents et autres lieux de pèlerinage associés au culte catholique seront érigés au sommet de la butte Montmartre : le roi Henri IV séjournera à l’abbaye royale en son temps, à une période où Montmartre était alors située à l’extérieur de Paris (localité indépendante, Montmartre ne sera rattachée à la capitale qu’en 1860).
La butte Montmartre marque aussi le souvenir d’affrontements entre les Communards et la garde nationale au plus fort de la Semaine Sanglante, ainsi qu’aux débuts de la Commune, épisode sanglant et fondateur de l’histoire de Paris, qui devait permettre à ses membres de fonder un gouvernement insurrectionnel et autonome distinct du gouvernement d’Adolphe Thiers. Ce gouvernement ne verra jamais le jour, et la Semaine Sanglante viendra achever les velléités des Communards commencées le 18 mars 1871.
Plantées en 1930 au nord de la fameuse butte, les vignes perpétuent le souvenir d’un quartier rural au cœur de la capitale. Le vin du Clos Montmartre se déguste ainsi chaque automne à l’occasion de la Fête des Vendanges, un moment chaleureux à passer entre amis ou en amoureux
Il y a près de 2 siècles, la Butte Montmartre arborait un tout autre visage que celui d’aujourd’hui et une douzaine de moulins s’y dressaient alors. Deux sont encore debout, le moulin Radet et le moulin de la Galette.
La place du Tertre est la place principale de l’ancien village de Montmartre et célèbre dans le monde entier pour ses artistes peintres et ses terrasses, de nombreux artistes y dressent leurs chevalets chaque jour pour les touristes.
Sacré-Coeur
Construite à la fin du 19e siècle, cet édifice entièrement blanc de style romano-byzantin est dédié au cœur du Christ. Un haut lieu de culte de la capitale qui abrite la plus grande mosaïque de France.
Le Moulin-Rouge est un cabaret parisien fondé en 1889 par le Catalan Joseph Oller et par Charles Zidler, qui possédaient déjà l'Olympia. Il est situé sur le boulevard de Clichy au pied de la butte Montmartre.
Hôpital Bichat
L'hôpital Bichat-Claude-Bernard est un centre hospitalier universitaire de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris situé au 46, rue Henri-Huchard.
Lors de la destruction de certains bâtiments de l’Hôtel-Dieu en 1879, un établissement de soin est organisé dans un ancien poste caserne situé sur les fortifications de Paris dans le 18e arrondissement. Devenu un véritable hôpital et doté de pavillons supplémentaires, cet établissement ouvre ses portes en tant qu’hôpital Bichat en 1882. A la fois polyvalent et spécialisé, il accueille 200 lits en 1900. Grâce à des travaux d’agrandissements entre 1928 et 1940, puis des travaux de modernisation en 1976-1980, cette capacité d’accueil augmente considérablement au XXe siècle.
A la jonction des territoires des 8e, 16e et 17e arrondissements, l'Arc de triomphe démarre un grand axe est-ouest parisien partant de la pyramide du Louvre, passant par l'obélisque de La Concorde, l'Arc de Triomphe lui-même et se terminant au loin par l'Arche de la Défense.
Souhaité par Napoléon Ier dès 1806, l'Arc de triomphe est inauguré en 1836 par le roi des Français, Louis-Philippe, qui le dédie aux armées de la Révolution et de l'Empire. Le Soldat inconnu est inhumé sur le terre-plein en 1921. La flamme du souvenir est ravivée tous les jours à 18h30.
Créé en 1893 par Jean Camille Formigé, ce square est délimité par les rues Félix Pécaut, Maria Deraismes, Collette et Jean Leclaire. Il doit son nom à l'épinette blanche, cépage de vignes qui était présent sur cette colline
A la jonction des territoires des 8e, 16e et 17e arrondissements, l'Arc de triomphe démarre un grand axe est-ouest parisien partant de la pyramide du Louvre, passant par l'obélisque de La Concorde, l'Arc de Triomphe lui-même et se terminant au loin par l'Arche de la Défense.
Souhaité par Napoléon Ier dès 1806, l'Arc de triomphe est inauguré en 1836 par le roi des Français, Louis-Philippe, qui le dédie aux armées de la Révolution et de l'Empire. Le Soldat inconnu est inhumé sur le terre-plein en 1921. La flamme du souvenir est ravivée tous les jours à 18h30.
Les jardins du Trocadéro sont un parc public. Ils font face à la Seine et surtout à la fameuse Tour Eiffel. Ils sont traversés par des allées longeant la fontaine de Varsovie, composée de plusieurs bassins. Le plus grand comporte des canons à eaux qui forment des dizaines de gerbes d'eau jaillissant de la surface. On trouve aussi de nombreuses sculptures dans le jardins, plus ou moins anciennes.
Mais avant d'être une esplanade et de rappeler une victoire militaire, le Trocadéro était un ensemble de bâtiments appelé le Palais du Trocadéro. Ce complexe a été construit pour l'Exposition universelle de 1878, qui a eu lieu à Paris. Il comprenait des salles d'exposition, des salles de concert et un grand jardin.
Le Palais du Trocadéro était un bâtiment imposant et magnifique, conçu dans un style néogothique. Après l'Exposition universelle, le Palais du Trocadéro a été utilisé pour d'autres expositions et événements publics, mais a finalement été démoli pour faire place au Palais de Chaillot actuel.
Le nom de Trocadéro vient d'une bataille menée par Napoléon le 31 août 1823, en Espagne.
Palais de Chaillot
Le Palais de Chaillot est situé sur la colline de Chaillot, entre la place du Trocadéro et du 11 novembre et les jardins du Trocadéro.
Construit pour l’Exposition Internationale des "Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne" de 1937 par les architectes et grands prix de Rome Léon Azéma, Jacques Carlu et Louis-Hippolyte Boileau, il est constitué de deux pavillons de style néo-classique, séparés par une esplanade, le Parvis des Droits de l’Homme.
Il offre l’une des vues les plus mémorables sur les jardins du Trocadéro et la tour Eiffel. Le Palais de Chaillot constitue l’écrin de quatre grandes institutions culturelles : la Cité de l’architecture et du patrimoine, le musée national de la Marine, le musée de l’Homme et Chaillot – Théâtre national de la Danse.
Palais Galliera
Le 15 avril 1878, la duchesse de Galliera manifeste son intention de laisser à l’Etat français sa collection d’œuvres d’art à la condition que cette dernière soit exposée au public dans un musée spécialement construit à cet effet. Musée qu’elle se propose de financer sur un vaste terrain lui appartenant. Ses exigences sont claires : l’ensemble se composera d’un musée entouré d’un square et, de chaque côté, sera percée une voie créant ainsi deux rues baptisées Brignole et de Galliera. Le musée, prendra, quant à lui le nom de Brignole-Galliera. Une transcription notariale maladroite ne permettra pas la présentation de la collection.
Le 19 décembre 1895, le sort du musée est fixé : il est inauguré en tant que musée d’Art Industriel. De nombreuses expositions d’arts décoratifs y sont organisées permettant au lieu de trouver son public désireux de découvrir cette nouvelle forme d’art.
En 1954, le Palais Galliera ouvre ses salles aux expositions annuelles du Salon des peintres témoins de leur temps.
Depuis 1977, le palais Galliera, est un musée consacré à l'art et l'histoire du vêtement et de la haute couture, le musée de la Mode de la ville de Paris.
Pont de Bir Hakeim
Le pont de Bir-Hakeim, anciennement pont de Passy, est un pont parisien franchissant la Seine entre le 15e et le 16e arrondissement, achevé en 1905. Une passerelle construite en 1878 à cet endroit l'avait précédé.
Le pont de Bir-Hakeim est un ouvrage à 2 étages, construit au début du XXe siècle. L’étage est réservé au passage de la ligne 6 du métro, tandis que le niveau inférieur est consacré aux voitures, ainsi qu’aux vélos sur le promenoir central.
Le pont de Bir-Hakeim, anciennement viaduc de Passy, d’une longueur de 247 mètres pour une largueur de 25 m, a été construit entre 1903 et 1905 par l’ingénieur Louis Biette et l’architecte Jean-Camille Formigé.
En présence du général de Gaulle et du général Marie-Pierre Koenig, le viaduc de Passy est rebaptisé pont Bir-Hakeim, en hommage à la première victoire des Forces françaises libres durant la guerre.
Il a été crée en 1860 par le Baron Haussmann. Ce lieu en inspira plus d'un, avant sa création un français admiratif du succès d'un certain lord Ranelagh décida d'organiser un bal exceptionnel au nom de ce dernier. Le bal terminé, c'est donc le baron Haussmann qui pris possession du lieu et créa ce magnifique parc. Aujourd'hui orné de statues et d'espèces d'arbres exceptionnelles, le jardin accueille petits et grands. Il dispose d'un kiosque à musique. Le manège à chevaux de bois est le plus ancien de Paris. Trois aires de jeux (toboggan, bac à sable, filet d'escalade...) et théâtre de marionnette le weekend.
Jardins de Bagatelle
Le parc de Bagatelle est ponctué de petits jardins regroupant les fleurs par espèces : le jardin des iris, le jardin des plantes vivaces, le jardin des Présentateurs, où ont lieu des expositions horticoles. Il abrite également un potager et une jolie collection de clématites. L’ensemble du parc est l’un des quatre sites du Jardin botanique de Paris.
Les fontaines Wallace sont des points d’eau potable publics, des fontaines qui se présentent sous la forme de petits édicules en fonte présents dans plusieurs villes dans le monde. Dessinées par Charles-Auguste Lebourg, elles tiennent leur nom de Richard Wallace, le philanthrope britannique qui finança leur édification.
Rue Mallet-Stevens
La rue Mallet-Stevens, reste une trace unique de l’élan moderne architectural à Paris pendant l’entre-deux-guerres.
L'Imprimerie royale est créée en 1640 par Louis XIII et Richelieu pour « multiplier les belles publications utiles à la gloire du Roi, au progrès de la religion et à l'avancement des Lettres ». Elle est spécialement chargée de publier tous les actes des conseils et les impressions de la Maison du Roi.
La Constitution de 1791 lui accorde le monopole des impressions faites à Paris aux frais du Trésor. En 1792, elle devient Imprimerie nationale exécutive, co-existant avec une imprimerie nationale législative, l'Imprimerie des administrations nationales. Le 8 pluviôse an III (27 janvier 1795), les différentes imprimeries officielles existantes sont regroupées sous le nom d'Imprimerie de la République. Celle-ci change de nom au gré des variations de régime : Imprimerie impériale (1804-1814), Imprimerie royale (1815-1848), Imprimerie du Gouvernement (1830 et 1848), Imprimerie nationale (1848-1852), Imprimerie impériale (1852-1870) et Imprimerie nationale (depuis 1870).
Rattachée au ministère de la Justice en 1809, elle est mise sous la tutelle du ministère des finances en 1910 (direction d'administration centrale) et dispose du monopole des impressions des documents de l'État et de ses administrations.
Musée de la Poste
Le Musée de La Poste est le musée d'entreprise du Groupe La Poste consacré à l'histoire postale et à la philatélie française.
Trop exigu, l'hôtel de Choiseul-Praslin doit laisser place à un nouveau lieu. De 1969 à 1972 est construit un nouveau musée de 1 500 m2 dans le quartier Necker, près de la gare Montparnasse, boulevard de Vaugirard, dans le. Le lieu est inauguré le par le ministre des PTT Hubert Germain. Un timbre représentant la façade dessiné par André Chatelin est émis le même jour.
Le parc André Citroën est situé à l’emplacement de l’ancienne usine parisienne de Citroën. Inauguré en 1992, d’une superficie de 14 hectares, il est l’un des parcs les plus récents de la capitale. Cette œuvre futuriste, réalisée par des paysagistes et des architectes de renom (Alain Provost, Gilles Clément, Patrick Berger, Jean-Paul Viguier et François Jodry), offre une très belle perspective sur la Seine et, est le seul espace vert parisien directement ouvert sur le fleuve. Le parc se divise en trois parties thématiques : le jardin Blanc, le jardin Noir et un grand parc central.
Pont de Bir Hakeim
Le pont de Bir-Hakeim, anciennement pont de Passy, est un pont parisien franchissant la Seine entre le 15e et le 16e arrondissement, achevé en 1905. Une passerelle construite en 1878 à cet endroit l'avait précédé.
Le pont de Bir-Hakeim est un ouvrage à 2 étages, construit au début du XXe siècle. L’étage est réservé au passage de la ligne 6 du métro, tandis que le niveau inférieur est consacré aux voitures, ainsi qu’aux vélos sur le promenoir central.
Le pont de Bir-Hakeim, anciennement viaduc de Passy, d’une longueur de 247 mètres pour une largueur de 25 m, a été construit entre 1903 et 1905 par l’ingénieur Louis Biette et l’architecte Jean-Camille Formigé.
En présence du général de Gaulle et du général Marie-Pierre Koenig, le viaduc de Passy est rebaptisé pont Bir-Hakeim, en hommage à la première victoire des Forces françaises libres durant la guerre.
Créé en 1888 grâce à une souscription publique internationale, il est nommé Institut Pasteur, son fondateur et premier directeur qui, en 1885, a mis au point le premier vaccin contre la rage.
L'Institut Pasteur est une fondation française privée à but non lucratif qui se consacre à l'étude de la biologie, des micro-organismes, des maladies et des vaccins.
L’hôpital Necker est fondé en 1778 dans la rue de Sèvres, à l’emplacement de l’ancien couvent des bénédictines Notre-Dame-de-Liesse, par Suzanne Necker, l’épouse de Jacques Necker, financier genevois et ministre de Louis XVI. Elle le dirige jusqu’en 1788. D’abord appelé hospice de la Charité, il devient hospice des paroisses de Saint-Sulpice et du Gros Caillou, puis hospice de l’Ouest pendant la Révolution. Il compte alors une centaine de lits. En 1802, il reçoit le nom de sa fondatrice et devient l’hôpital Necker.
L’hôpital universitaire Necker-Enfants malades est né du regroupement en 1926 de l’hôpital Necker – lieu d’invention du stéthoscope et de la réalisation de la première greffe de rein – et de l’hôpital des Enfants Malades, créé en 1802, premier établissement au monde dédié aux enfants.
Sur tout un pan de mur du bâtiment, s’étend depuis 1987 une fresque colorées et dansante, signée de l’artiste Keith Haring (1958–1990).
Tour Maine-Montparnasse
Le Mont Parnasse tire son nom d’une butte champêtre, arasée en 1725, que les étudiants comparaient au séjour des Muses.
L’histoire de la Tour Montparnasse commence dès 1934 avec la SNCF pour qui la gare Montparnasse ne répondait plus à ses besoins. Au bout de 25 ans, le projet de reconstruction débouche sur une opération d’urbanisme de grande envergure ; la gare sera déplacée et les terrains libérés utilisés à des fins nouvelles.
La tour Montparnasse a été bâtie entre 1969 et 1973 sur l'emplacement de l'ancienne gare Montparnasse. La première pierre fut posée en 1970 et l'inauguration eut lieu en 1973.
Paris Expo Porte de Versailles est le parc des expositions de la ville de Paris. Deuxième plus grand parc français en termes de superficie, il a au départ été construit en 1923 afin d'accueillir la Foire de Paris.
Faisant suite à la grande exposition universelle de 1900, la Chambre de commerce et d'industrie de Paris (CCIP) et un certain nombre d’organisations professionnelles, admiratifs du succès rencontré par la foire de Leipzig, décident de créer, en 1903, le Comité des Expositions de Paris (association - loi de 1901) pour organiser la première véritable Foire de Paris. Elle ouvre ses portes le 17 mars 1904 au Carreau du Temple.
La Foire Paris est accueillie à la Porte de Versailles en 1924.