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Le chemin de fer

Publié le par Baldenberger

Le chemin de fer

1803

La locomotive à vapeur  a été inventée en 1804 par Richard Trevithick. Le premier train de l'Histoire (c'est à dire une machine à vapeur tirant des wagons sur des rails) a circulé sur les voies de l'aciérie de Penn-y-Darren (pays de Galles) le 13 février 1804.

Le chemin de fer
Le chemin de fer
Le chemin de fer

1825

Le chemin de fer
Le chemin de fer
Le chemin de fer

George Stephenson, né le à Wylam (dans le Northumberland en Angleterre) et mort le à Tapton House (en) (Chesterfield), est un ingénieur britannique. Il fait partie des « pères fondateurs » du chemin de fer à vapeur.

1879

Le chemin de fer
Le chemin de fer
Le chemin de fer

Le 31 mai 1879, le premier chemin de fer électrique a été inauguré lors de l’exposition commerciale de Berlin, en Allemagne. Il avait la taille de ce que l’on appellerait aujourd’hui un chemin de fer miniature transportant des passagers. La locomotive électrique était équipée d’un moteur d’une puissance d’environ 3 chevaux, capable de tracter trois petites voitures sur une ligne de ceinture de 300 m de long, à une vitesse pouvant atteindre 7 km à l’heure. Le courant de 150 volts était pris sur un troisième rail entre les rails de roulement, qui étaient collés pour servir de circuit de retour. Le revêtement en bois au-dessus du moteur offrait un siège au machiniste. Les engrenages permettaient de changer le sens de la marche. Werner von Siemans et sa société Siemens & Haslke ont ensuite pu construire une ligne à Gross Lichterfelde, près de Berlin, qui a été ouverte au public le 16 mai 1881. »

1938

La No 4468 Mallard est une locomotive à vapeur de la classe A4, de type Pacific 4-6-2, construite en 1937 par la compagnie ferroviaire britannique London and North Eastern Railway (LNER) dans ses ateliers de Doncaster (Angleterre). Elle détient le record mondial de vitesse d'une locomotive à vapeur, atteint le 3 juillet 1938
La No 4468 Mallard est une locomotive à vapeur de la classe A4, de type Pacific 4-6-2, construite en 1937 par la compagnie ferroviaire britannique London and North Eastern Railway (LNER) dans ses ateliers de Doncaster (Angleterre). Elle détient le record mondial de vitesse d'une locomotive à vapeur, atteint le 3 juillet 1938
La No 4468 Mallard est une locomotive à vapeur de la classe A4, de type Pacific 4-6-2, construite en 1937 par la compagnie ferroviaire britannique London and North Eastern Railway (LNER) dans ses ateliers de Doncaster (Angleterre). Elle détient le record mondial de vitesse d'une locomotive à vapeur, atteint le 3 juillet 1938

La No 4468 Mallard est une locomotive à vapeur de la classe A4, de type Pacific 4-6-2, construite en 1937 par la compagnie ferroviaire britannique London and North Eastern Railway (LNER) dans ses ateliers de Doncaster (Angleterre). Elle détient le record mondial de vitesse d'une locomotive à vapeur, atteint le 3 juillet 1938

Le chemin de fer
Le chemin de fer
Le chemin de fer

Publié dans Transports

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Galène

Publié le par Baldenberger

La galène est une espèce minérale composée de sulfure de plomb.

Galène
Galène
Galène
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COLETTE

Publié le par Baldenberger

COLETTE
COLETTE
COLETTE
COLETTE
COLETTE
COLETTE
COLETTE

Je suis Sidonie-Gabrielle Colette et je suis née le 28 janvier 1873 à Saint Sauveur en Puisaye dans l’Yonne.

Je passe une enfance heureuse en Bourgogne auprès de ma mère athée et féministe, et je lis des grands classiques de littérature. À la fin de mon adolescence, je rencontre Henry Gauthier-Villars, dit Willy, avec qui je me marie le 15 mai 1893.

Nous déménageons à Paris. Grâce à lui, je découvre les cercles littéraires de la capitale. Willy, qui est très friand de littérature, va m’utiliser pour que j’ écrive des romans qu’il signe de sa main. En quelque sorte « prête-plume » de mon mari. C’est ainsi qu’est née la collection des Claudine, tous issus de mon imagination mais signés par Willy. Je m’inspire beaucoup de ma vie pour écrire ces romans d’un nouveau genre.

Mais, entre les tromperies de mon mari et cette utilisation abusive de mon talent, je décide de publier son premier livre Dialogues de bêtes en 1905 sous mon nom, Colette Willy.

J’ entame ensuite une carrière au music-hall en présentant des spectacles pantomimes, très osés pour l’époque. Je divorce de Henry Gauthier-Villars (Willy) en 1906 et j’entame plusieurs liaisons avec des femmes (Mathilde de Morny, Nathalie Clifford Barney ou encore la marquise de Belbeuf). Je profite de ces années de libération pour publier plusieurs ouvrages, comme La Vagabonde, L’envers du music-hall ou En tournée.

Je rencontre ensuite mon second mari, Henry de Jouvenel. De cette union naît ma fille unique, Colette Renée de Jouvenel. Mais mon mari me trompe, et lors de ses absences, je décide d’initier mon beau-fils, Bertrand de Jouvenel, à l’amour. Ce dernier n’a alors que 17 ans lorsque notre relation commence. Cet épisode de sa vie a inspiré mon roman Le Blé en herbe.

Je divorce d’Henry de Jouvenel en 1923. Je fais la rencontre de Léopold Marchand, un grand scénariste de théâtre de l’entre-deux guerres. Nous adaptons ensemble deux romans de Colette, Chéri et La Vagabonde, au théâtre.

En 1925, je fais la connaissance de mon troisième et dernier conjoint, Maurice Goudeket.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, je continue d’écrire, tout en me rendant chez ma fille en Corrèze et en protégeant mon mari de la Gestapo.

En 1945, je suis élue à l’unanimité à l’Académie Goncourt. J’en deviens la première femme présidente en 1949, ce qui est là aussi une grande première.

En 1953, je deviens grand officier de la Légion d’honneur.

Je souffre d'une polyarthrite, une inflammation des articulations qui me fait beaucoup souffrir. Je passe la fin de mes jours auprès de mon mari, affaiblie, et je décède le 3 août 1954.

La réputation sulfureuse de mes romans m’empêche d'obtenir un enterrement religieux, pourtant ma célébrité est telle que des obsèques nationales sont organisées.

Je repose au cimetière du Père-Lachaise à Paris.

COLETTE

Publié dans Littérature, TROMBINOSCOPE

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Stanserhornbahn

Publié le par Baldenberger

Stanserhornbahn

Le Stanserhorn offre une vue remarquable sur dix lacs suisses et 100 km de la chaîne des Alpes.

Stanserhornbahn
Stanserhornbahn

L’aventure sur le Stanserhorn commence dès la station inférieure aux airs d’antan, d’où un funiculaire centenaire monte jusqu’à la station intermédiaire, traversant de verdoyantes prairies et se faufilant entre de chaleureuses maisons. De là, de nouvelles remontées mécaniques à ciel ouvert permettent d’accéder au Stanserhorn. Le téléphérique à deux étages, le fameux Cabrio, dispose d’un pont supérieur ouvert. 

Stanserhornbahn
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Fluorite

Publié le par Baldenberger

La fluorite (ou fluorine) est une espèce minérale composée de fluorure de calcium.

Fluorite
Fluorite
Fluorite
Fluorite
Fluorite
Fluorite
Fluorite
Fluorite
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Mendelbahn

Publié le par Baldenberger

Mendelbahn
Mendelbahn

Le Mendelbahn  est un funiculaire du Tyrol du Sud. Il mène du quartier de St. Anton-Pfuß à Kaltern jusqu'au col de Mendel et fait partie du réseau de transport du Tyrol du Sud. Aujourd'hui, le train surmonte un dénivelé de 854 mètres sur une longueur de 2 370 mètres en un temps de trajet de douze minutes. Il commence à 510 m d'altitude, la station supérieure est à 1364 mètres. La pente moyenne est de 39%.

Mendelbahn
Mendelbahn
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Ferberite

Publié le par Baldenberger

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Emeraude

Publié le par Baldenberger

L’émeraude est un minéral, du groupe des silicates, dont la couleur verte provient de traces de chrome, de vanadium et parfois de fer.

Emeraude
Emeraude
Emeraude
Emeraude
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Schweiz-Berner-Oberland-Schynige-Platte-Bahn

Publié le par Baldenberger

Schweiz-Berner-Oberland-Schynige-Platte-Bahn
Schweiz-Berner-Oberland-Schynige-Platte-Bahn

Le chemin de fer de la Schynige Platte (SPB) est une ligne de chemin de fer à crémaillère suisse reliant, depuis le , Wilderswil à la gare de Schynige Platte, dans le canton de Berne.

La ligne a son origine en gare de Wilderswil, où elle donne correspondance aux trains des chemins de fer de l'Oberland bernois.

Schweiz-Berner-Oberland-Schynige-Platte-Bahn
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Dioptase

Publié le par Baldenberger

La dioptase est un minéral, cyclosilicate de cuivre, d'un vert transparent à translucide. Le terme dioptase désigne un minéral de la classe des silicates.

Dioptase
Dioptase
Dioptase
Dioptase
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