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metiers d'art

Faïence de Lille

Publié le par Baldenberger

Faïence de Lille
Faïence de Lille

L'histoire de la faïence de Lille

Débuts

  • La corporation des potiers existe à Lille depuis le XVe siècle.
  • 1696 : Création de la première fabrique de faïence par Jacques Febvrier (originaire de Tournai) et Jean Bossut (originaire de Gand).

Apogée

  • XVIIIe siècle : Age d'or de la faïence de Lille.
  • Développement de nombreuses manufactures, dont :
    • La fabrique de Jacques Febvrier et Jean Bossut (devenue "Boussemart & Douisbourg" en 1711)
    • La fabrique de Pierre Antoine Hannart (1709)
    • La fabrique de François Joseph Peterinck (1740)
  • Production variée : vaisselle, pots Jacquot et Jacqueline, carreaux de sol, etc.
  • Décoration :
    • Motifs inspirés de la faïence de Delft et de Moustiers
    • Scènes chinoises
    • Fleurs et oiseaux
    • Couleurs vives : bleu, jaune, vert, orange

Déclin

  • Fin du XVIIIe siècle : Début du déclin de la faïence de Lille.
  • Concurrence de la porcelaine et des faïences anglaises.
  • Fermeture de nombreuses manufactures.

XXe siècle

  • XXe siècle : Renouveau de l'intérêt pour la faïence de Lille.
  • Création de musées et d'associations dédiés à la faïence de Lille.
  • Production de faïences contemporaines inspirées de la tradition lilloise.

Aujourd'hui

  • La faïence de Lille est un élément important du patrimoine culturel de la ville.
  • De nombreux musées et associations exposent et conservent des pièces de faïence de Lille.

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La faïence de STRASBOURG

Publié le par Baldenberger

La faïence de STRASBOURG
La faïence de STRASBOURG
La faïence de STRASBOURG
La faïence de STRASBOURG

L'histoire de la faïence de Strasbourg

L'histoire de la faïence de Strasbourg est un récit fascinant qui s'étend sur plus de deux siècles, du début du XVIIIe siècle à la fin du XXe siècle. Cette période est marquée par l'ascension et la chute de plusieurs manufactures, chacune contribuant à son propre style et à sa propre technique.

Les débuts (1721-1748):

  • La première manufacture de faïence à Strasbourg est fondée en 1721 par Charles-François Hannong.

  • Hannong s'inspire des techniques de Delft et de Rouen pour créer des pièces décorées de motifs floraux, d'oiseaux et de chinoiseries.

  • La manufacture rencontre un grand succès et devient rapidement l'une des plus importantes d'Europe.

L'âge d'or (1748-1784):

  • Le fils de Charles-François, Paul Hannong, prend la direction de la manufacture en 1748.

  • Paul est un innovateur et il introduit de nouvelles techniques et de nouveaux décors, tels que le "pourpre de Cassius", une couleur rouge vif qui devient la marque de fabrique de Strasbourg.

  • La manufacture de Strasbourg atteint son apogée pendant cette période et ses produits sont exportés dans toute l'Europe.

Le déclin (1784-1848):

  • La mort de Paul Hannong en 1784 marque le début du déclin de la manufacture.

  • La Révolution française et les guerres napoléoniennes perturbent l'activité économique et la manufacture est contrainte de fermer ses portes en 1809.

La renaissance (1848-1920):

  • La manufacture est rouverte en 1848 par Théodore Deck.

  • Deck s'inspire des styles du passé et crée des pièces d'inspiration néo-Renaissance et néo-Rococo.

  • La manufacture de Strasbourg retrouve une certaine renommée, mais elle ne parvient pas à retrouver son lustred'antan.

Le XXe siècle:

  • La manufacture de Strasbourg est rachetée par la société Utzschneider en 1920.

  • Utzschneider continue à produire de la faïence de Strasbourg jusqu'à la fin du XXe siècle.

  • La production de faïence de Strasbourg cesse définitivement en 2003.

L'héritage:

  • La faïence de Strasbourg est aujourd'hui un objet de collection recherché.

  • De nombreux musées en France et en Europe exposent des pièces de faïence de Strasbourg.

  • Le Musée des Arts Décoratifs de Strasbourg possède une importante collection de faïence de Strasbourg.

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La faïence de NEVERS

Publié le par Baldenberger

La faïence de NEVERS
La faïence de NEVERS
La faïence de NEVERS
La faïence de NEVERS

L'histoire de la faïence à Nevers

XVIe siècle : Les origines

L'essor de la faïence à Nevers débute à la fin du XVIe siècle grâce à Louis de Gonzague, duc de Nevers. En 1565, il épouse Henriette de Clèves, issue d'une famille noble italienne. Suite à ce mariage, des artisans italiens, dont les frères Conrade, experts en faïence, s'installent à Nevers. Ils apportent avec eux leurs techniques et savoir-faire, contribuant à la naissance de la faïencerie nivernaise.

XVIIe siècle : L'âge d'or

Le XVIIe siècle marque l'âge d'or de la faïence de Nevers. La ville devient le premier centre faïencier français, produisant des pièces d'une grande variété et d'une qualité exceptionnelle. Deux styles principaux se distinguent :

  • Le style Renaissance: caractérisé par des décors inspirés de l'Antiquité, avec des motifs grotesques, des rinceaux et des personnages mythologiques.

  • Le style "persan": influencé par les importations de porcelaines chinoises et japonaises, il se distingue par ses couleurs vives, ses motifs floraux et ses chinoiseries.

Durant cette période, de nombreuses manufactures voient le jour, employant des centaines d'artisans. La faïence de Nevers se diffuse dans tout le royaume et même à l'étranger, contribuant à la renommée de la ville.

XVIIIe et XIXe siècles : Déclin et renouveau

Le XVIIIe siècle est marqué par une certaine perte de vitesse de la faïence de Nevers. La concurrence d'autres centres faïenciers français, comme Rouen et Moustiers, ainsi que l'évolution des goûts, affectent la production nivernaise.

Au XIXe siècle, la faïence de Nevers connaît un renouveau grâce à l'arrivée de nouveaux maîtres faïenciers, comme François-Henry Signoret. Ils insufflent un nouveau souffle à la production en s'inspirant des styles du passé et en innovant dans les techniques de fabrication.

XXe et XXIe siècles : La faïence de Nevers aujourd'hui

Au XXe siècle, la faïence de Nevers continue à se développer et à se diversifier. De nombreux ateliers et manufactures perpétuent la tradition, tout en apportant une touche de modernité à leurs créations.

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Manufacture royale de faïencerie LYON

Publié le par Baldenberger

Manufacture royale de faïencerie LYON
Manufacture royale de faïencerie LYON

En 1733, une manufacture royale de faïencerie s'implante dans le quartier de la Guillotière. Ce sont Joseph Combe et son associé Ravier qui louent au sieur Bichon, une maison qui a pour enseigne au soleil levant localisée au 18 grande rue de la Guillotière. Pour contourner une contrainte douanière importante (la Guillotière étant un faubourg), Combe et Ravier vont adresser une requête au Conseil du roi par laquelle ils sollicitent pour leur établissement le titre de manufacture royale pour obtenir toute une série d'exemption. Leur requête est exaucée, ainsi Combe et Ravier obtiennent un privilège de 10 ans, l'interdiction pour toute personne d'implanter une manufacture concurrente dans Lyon et ses faubourgs, hélas les exemptions des droits de douane leur sont refusés. Après le départ de Ravier à la fin de l'année 1733, Combe reste seul à diriger la faïencerie jusqu'en 1736. Puis il vend à Françoise Blateron tant le privilège royal qu'il détient que sa part de la manufacture de faïence.

https://www.persee.fr/doc/sevre_1169-2537_1997_num_6_1_1353

 

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Porcelaine de Korzec

Publié le par Baldenberger

Porcelaine de Korzec
Porcelaine de Korzec

La porcelaine de Korzec est une porcelaine tendre produite à Korzec, en Pologne, de 1783 à 1831. La manufacture a été fondée par le comte Jan Tarnowski et était dirigée par des artisans français et allemands. La porcelaine de Korzec est connue pour sa haute qualité , décors raffinés et couleurs vives.

Les décors les plus courants de la porcelaine de Korzec incluent des fleurs, des scènes pastorales et des chinoiseries. La porcelaine était également souvent décorée des armoiries de la famille Tarnowski. La porcelaine de Korzec était populaire auprès de l'aristocratie polonaise et était également exportée vers d'autres pays d'Europe.

La manufacture de Korzec a fermé ses portes en 1831 en raison de l'insurrection polonaise. Cependant, la porcelaine de Korzec reste aujourd'hui un objet de collection prisé. . On peut le trouver dans les musées et les collections privées du monde entier.

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Faïencerie de GIEN

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Faïencerie de GIEN
Faïencerie de GIEN
Faïencerie de GIEN
Faïencerie de GIEN

L'histoire de la faïencerie de Gien

Fondation et essor (1821-1850)

En 1821, l'industriel anglais Thomas Hall, dit "Hall", s'installe à Gien et rachète l'enclos et les bâtiments du couvent des Minimes pour y fonder la faïencerie.

Durant ses premières années, la manufacture se spécialise dans la production de faïence blanche de forme octogonale et au modelé sophistiqué, s'inspirant des pièces d'orfèvrerie. Apparaissent ensuite les premières assiettes à thème, répondant aux goûts et à la culture de l'époque.

Développement et diversification (1850-1900)

La seconde moitié du XIXe siècle voit la faïencerie de Gien connaître un essor important. La production se diversifie avec l'apparition de nouveaux décors, tels que les motifs floraux, les paysages et les scènes de genre. L'entreprise s'inspire également des styles en vogue, comme le japonisme et l'orientalisme.

Apogée et renommée internationale (1900-1945)

La faïencerie de Gien atteint son apogée au début du XXe siècle. Elle devient l'une des plus importantes manufactures de faïence en Europe, employant plus de 1 000 personnes. Sa renommée internationale s'affirme grâce à sa participation à des expositions universelles et à ses collaborations avec des artistes renommés.

Révolution et adaptation (1945-2000)

La Seconde Guerre mondiale affecte durement la faïencerie de Gien. La production est réduite et l'entreprise doit se reconvertir pour survivre.

Dans les années 1950, la faïencerie de Gien se modernise et s'adapte aux nouvelles tendances. Elle lance de nouveaux services de table, plus contemporains, et s'ouvre à de nouveaux marchés, comme la décoration d'intérieur.

Renouveau (depuis 2000)

Aujourd'hui, la faïencerie de Gien est toujours l'une des plus importantes manufactures de faïence en France. Elle perpétue son savoir-faire ancestral tout en se modernisant et en innovant.

L'entreprise propose une large gamme de produits, des services de table aux objets de décoration, et continue de collaborer avec des artistes contemporains.

Faïencerie de GIEN
Faïencerie de GIEN
Faïencerie de GIEN
Faïencerie de GIEN

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Faïencerie de Quimper

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Faïencerie de Quimper
Faïencerie de Quimper
Faïencerie de Quimper

L'histoire de la faïencerie de Quimper

Les origines

La faïence de Quimper a une longue et riche histoire qui remonte à la fin du XVIIe siècle. C'est en 1690 que Jean-Baptiste Bousquet, un potier originaire de Provence, s'installe à Quimper et y fonde la première faïencerie. Il utilise l'argile locale, riche en kaolin, et développe une technique de production unique qui donne à la faïence de Quimper son aspect caractéristique.

Le développement

Au XVIIIe siècle, la faïencerie de Quimper connaît un essor important. De nombreux ateliers s'ouvrent et la production se diversifie. Les décors s'inspirent des motifs traditionnels bretons, mais aussi des styles en vogue à l'époque, comme le chinoiserie. La faïencerie de Quimper devient un produit de luxe recherché par les collectionneurs et les amateurs d'art.

Le XIXe siècle

Le XIXe siècle est une période de bouleversements pour la faïencerie de Quimper. La concurrence des faïenceries anglaises et l'arrivée de la porcelaine font baisser la demande. De nombreux ateliers ferment leurs portes.

Le XXe siècle

Au XXe siècle, la faïencerie de Quimper connaît un renouveau grâce à l'arrivée de nouveaux artistes et de nouvelles techniques. La production se modernise et les décors se font plus audacieux. La faïencerie de Quimper devient un symbole de l'identité bretonne et un souvenir incontournable pour les touristes.

Aujourd'hui

Aujourd'hui, la faïencerie de Quimper est toujours une activité importante à Quimper. Il existe encore plusieurs ateliers qui perpétuent la tradition et le savoir-faire ancestral. La faïencerie de Quimper est un élément important du patrimoine breton et continue à séduire les amateurs d'art et de décoration.

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Manufacture de Sèvres

Publié le par Baldenberger

Manufacture de Sèvres
Manufacture de Sèvres

La Manufacture de Sèvres : Une histoire d'excellence et d'innovation

1740 : Naissance d'une manufacture royale

L'histoire de la Manufacture de Sèvres débute en 1740, sous le règne de Louis XV. Encouragée par Madame de Pompadour, la manufacture s'installe à Sèvres, à proximité du château de Bellevue. La production se concentre alors sur la porcelaine tendre, une pâte fragile mais d'une grande finesse.

1756 : Sèvres devient une manufacture royale

Louis XV rachète la manufacture en 1756, lui conférant le statut prestigieux de manufacture royale. Cette distinction garantit à Sèvres un soutien financier et une protection royale, lui permettant de se développer et d'affirmer son excellence.

1765 : Découverte du kaolin et naissance de la porcelaine dure

Deux chercheurs de la manufacture, Pierre-Joseph Macquer et Robert Millot, découvrent en 1765 un gisement de kaolin près de Limoges. Ce minéral est essentiel à la fabrication de la porcelaine dure, une pâte plus résistante et plus durable que la porcelaine tendre. Cette découverte marque un tournant majeur dans l'histoire de Sèvres.

1800 : Alexandre Brongniart et l'essor de la manufacture

En 1800, Alexandre Brongniart est nommé directeur de la manufacture. Il impulse une nouvelle dynamique, modernisant les techniques de production et encourageant la création artistique. Sous sa direction, Sèvres devient un centre d'innovation et de créativité, rayonnant à l'international.

20ème et 21ème siècles : Un héritage précieux et un regard vers l'avenir

La Manufacture de Sèvres a traversé les siècles, conservant son savoir-faire unique et son esprit d'innovation. Aujourd'hui, elle continue de produire des pièces d'exception, alliant tradition et modernité. Sèvres est également un centre de recherche et d'enseignement, contribuant à la transmission de ce patrimoine précieux aux générations futures.

Manufacture de Sèvres
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Manufacture de Sèvres
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Manufacture de porcelaine de Herend

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Manufacture de porcelaine de Herend
Manufacture de porcelaine de Herend
Manufacture de porcelaine de Herend
Manufacture de porcelaine de Herend
Manufacture de porcelaine de Herend
Manufacture de porcelaine de Herend
Manufacture de porcelaine de Herend
Manufacture de porcelaine de Herend

Herend est une manufacture hongroise de porcelaine basée à Herend, près de Veszprém

La manufacture de porcelaine de Herend (Herendi Porcelánmanufaktúra Zrt.) est spécialisée dans la porcelaine de luxe peinte et dorée à la main.

Elle est au milieu du XIXe siècle le fournisseur de la dynastie des Habsbourgs et de l'aristocratie européenne. Beaucoup de ses modèles classiques sont toujours produits.

Après la chute du communisme en Hongrie, l'usine est privatisée. Elle est actuellement détenue à 75% par la direction et son personnel

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Porcelaine Meissen

Publié le par Baldenberger

L'histoire de la fabrique de porcelaine de Meissen

La découverte du kaolin et la naissance de la porcelaine européenne

La porcelaine de Meissen est née d'une quête : celle de l'or blanc, la porcelaine chinoise tant convoitée en Europe. La découverte du kaolin, un ingrédient essentiel à la fabrication de la porcelaine dure, en 1708 par Johann Friedrich Böttger a marqué un tournant historique.

Fondation de la manufacture royale en 1710

Auguste le Fort, prince-électeur de Saxe et roi de Pologne, fasciné par la découverte de Böttger, a fondé la manufacture royale de porcelaine de Meissen en 1710. C'était la première manufacture de porcelaine d'Europe.

Développement et innovations

Sous la direction de Böttger et de ses successeurs, la manufacture a connu un essor fulgurant. Ils ont développé des techniques de production uniques et ont créé des styles de décoration novateurs. La manufacture est devenue célèbre pour ses porcelaines d'une blancheur immaculée, sa pâte dure et translucide, et ses décors raffinés inspirés de la nature, de la mythologie et de la chinoiserie.

L'âge d'or et les marques distinctives

Le XVIIIe siècle a été l'âge d'or de la porcelaine de Meissen. La manufacture a produit des chefs-d'œuvre d'art et de design, tels que les services à thé, les vases décorés, les figurines et les sculptures en porcelaine.

Deux marques distinctives ont été créées pour identifier la porcelaine de Meissen :

  • Les épées croisées: utilisées dès 1720, symbolisent la protection royale et la qualité exceptionnelle de la porcelaine.
  • Le poinçon de Meissen: introduit en 1731, il représente une roue dentée et six points, indiquant la manufacture de Meissen et le nombre d'années de service du décorateur.

L'évolution au fil des siècles

La manufacture de Meissen a traversé les siècles en s'adaptant aux goûts et aux courants artistiques de chaque époque.

  • XIXe siècle: apparition de styles historicistes et de nouvelles techniques de décoration.
  • XXe siècle: marqué par les deux guerres mondiales, la manufacture a su se réinventer en proposant des designs modernes et en collaborant avec des artistes renommés.
  • XXIe siècle: la manufacture perpétue son savoir-faire ancestral tout en innovant et en explorant de nouveaux horizons artistiques.

Aujourd'hui, la manufacture de Meissen est l'une des plus anciennes et des plus prestigieuses manufactures de porcelaine au monde.

Elle continue à produire des pièces uniques et raffinées, appréciées par les collectionneurs et les amateurs d'art du monde entier.

  • La manufacture est toujours en activité aujourd'hui et emploie environ 600 personnes.
  • La production est toujours basée sur des techniques artisanales traditionnelles.
  • La manufacture propose un large éventail de produits, des services à thé aux sculptures en porcelaine.
  • Le musée de la manufacture de Meissen expose une collection impressionnante de porcelaines anciennes et contemporaines.
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen
Porcelaine Meissen

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