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La devise des Jeux olympiques

Publié le par Baldenberger

La devise des Jeux olympiques
La devise des Jeux olympiques

La devise des Jeux Olympiques, « Citius, Altius, Fortius », est en latin, la langue des anciens Romains. Cette devise, qui est devenue emblématique du Comité International Olympique (CIO), se traduit en français par « Plus vite, plus haut, plus fort ». Cette expression puissante symbolise l’essence même des Jeux Olympiques.

La devise des Jeux olympiques
La devise des Jeux olympiques
La devise des Jeux olympiques
La devise des Jeux olympiques

"Plus vite, plus haut, plus fort", ou "Citius, Altius, Fortius" en latin, est la devise olympique depuis 1894, date à laquelle elle a été adoptée à la naissance du CIO sur proposition du fondateur de l'instance, Pierre de Coubertin. 

La devise olympique "Plus vite, plus haut, plus fort" a été actualisée en 2021, et c’est désormais "Citius, Altius, Fortius – Communiter" (Plus vite, plus haut, plus fort - ensemble").

 

Publié dans SPORT

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Louis BLERIOT

Publié le par Baldenberger

Louis BLERIOT
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Louis BLERIOT
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Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT

Je suis né  le 1er juillet 1872 à Cambrai, dans le Nord.

Originaires du Verguier et de Pontru, deux localités voisines, situées au nord du département de l’Aisne, à la limite de la Somme, mes parents, Louis Blériot et Eugénie Candeliez,  avaient pris l’ascenseur social, après un mariage entre cousins germains, en 1712. 

De fermiers-mulquiniers, ils étaient devenus fabricants de coton et de toile, et mon père,  sucrier à Walincourt,

Quant à moi, je commence mes études à l'Institution Notre-Dame en 1882. En 1887, je quitte Cambrai pour le lycée d'Amiens, le collège Sainte-Barbe à Paris puis l’École centrale des arts et manufactures, où je suis admis en 1892.

Ingénieur diplômé de l’École centrale (promotion 1895), j'entre chez Baguès, usine de luminaires,  puis effectue mon service militaire dans l'artillerie à Tarbes.

Inventif, je fonde ma première entreprise "Établissements L. Blériot" et j' installe ma boutique à Paris où je vends de nombreux accessoires automobiles comme de l’éclairage, novateur pour l’époque.

J'avoue être attiré par l’aviation et très inspiré par le travail de Clément Ader qui a réussi à créer un prototype d’avion appelé l’Eole, à mon tour, je me lance dans la fabrication d’un avion d’1 mètre 50 et de 10kg. 

Ce premier prototype s’envole en 1901 : un succès ! et je continue sur ma lancée mais beaucoup de mes prototypes se crashent et cela fait beaucoup parler dans la presse de l’époque.

Entre 1905 et 1909, j'ai produit onze prototypes dont le fameux Blériot XI

Je n’abandonne pas et je rencontre Gabriel Voisin avec qui je fonde « Blériot et Voisin ». Je deviens le concepteur des nouveaux modèles et Gabriel Voisin devient le mécanicien. Cette alliance prend fin à la suite de multiples crashs comme celui du modèle Blériot IV en 1906.

Je poursuis donc mes conceptions aéronautiques en solitaire et je développe de nombreux autres modèles comme un avion monoplan, le « Canard », un avion à ailes en tandem ou encore un avion consolidé avec des cordes à piano.

J'améliore sans cesse mes moteurs qui me valent de nombreuses disputes avec des mécaniciens.

 

Le 31 octobre 1908, je réussis le premier vol de ville à ville de l’histoire de l’aviation, entre Toury et Artenay. Ce vol dura 2 heures et fut récompensé par les éloges de la presse de l’époque.


 

Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT

En 1909, j'obtiens le brevet de pilote no 1 délivré en France. 

Le 25 juillet 1909, je deviens le premier homme à traverser la Manche en solitaire, en 37 minutes.

Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT
Louis BLERIOT

La traversée de la Manche réussie, mon ami Alfred Leblanc m'avance les fonds pour lancer rapidement la fabrication en série du modèle de cette traversée. Sur cette lancée,  je crée une école de pilotage à Pau

De 1910 à l'automne 1913, je retire d'importants bénéfices de ma firme. Les commandes affluent et je dois agrandir mes ateliers.

J'adopte un mode de vie aristocratique et m'établis dans un hôtel particulier du 16e arrondissement avec mes sept enfants

Au terme de mon exaltante carrière industrielle, je passe la main avant de mourir précocement le , emporté par une crise cardiaque.

Au début 1911, Henri Salmet est employé par l'école de pilotage Blériot à l'aérodrome de Hendon.
Au début 1911, Henri Salmet est employé par l'école de pilotage Blériot à l'aérodrome de Hendon.

Au début 1911, Henri Salmet est employé par l'école de pilotage Blériot à l'aérodrome de Hendon.

Louis BLERIOT

Publié dans TROMBINOSCOPE, Transports

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DASSAULT Aviation

Publié le par Baldenberger

DASSAULT Aviation

Le groupe Dassault Aviation est un constructeur aéronautique français fondé en 1916 par Marcel Dassault et reste le dernier groupe d'aviation au monde détenu par la famille de son fondateur et portant son nom.

DASSAULT Aviation

Marcel BLOCH (il deviendra Marcel DASSAULT en 1949) contribue à l’aéronautique française lors de la Première Guerre mondiale. Versé au laboratoire d’aéronautique de Chalais-Meudon, il met son talent d’ingénieur au service de la France en créant une hélice baptisée Éclair (1916) et un biplace de chasse, le SEA IV (1918) en collaboration avec Henry Potez et Louis Coroller.

DASSAULT Aviation
DASSAULT Aviation
DASSAULT Aviation

Le Mystère IV (1954) consacre la reconnaissance du savoir-faire de sa société lorsque que les Etats-Unis commandent 225 appareils dans le cadre d’un accord de l’OTAN.

Marcel Dassault explique  le choix du nom pour ses appareils : « C’est en souvenir du livre Le Docteur Mystère qui m’avait passionné dans mon enfance, que j’ai appelé mon premier avion supersonique Mystère. Mes avions Mirage, du fait de leurs qualités d’attaque et d’évasive, sont aussi invulnérable aux coups de l’adversaire que le mirage est insaisissable pour le voyageur du désert, d’où le nom Mirage ».

 

DASSAULT Aviation
DASSAULT Aviation
DASSAULT Aviation
DASSAULT Aviation

Le Mirage III est un avion multirôle conçu  à la fin des années 1950. C'est le premier avion de combat de conception française et même européenne capable de dépasser une vitesse de Mach 2 en vol horizontal.

DASSAULT Aviation
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En 1961, sous l’impulsion de Marcel Dassault, l’équipe Dassault de Bordeaux-Mérignac, reprend le projet d'un avion marquant le passage des moteurs de la position en nacelle sous voilure à celle en nacelles accolées à l’arrière du fuselage.

Le Mystère 20 ou Falcon 20 est un avion d'affaires biréacteur développé par Dassault Aviation à partir de 1963. Il s'agit du premier avion d'affaires de la famille Falcon construit par Dassault Aviation.

DASSAULT Aviation
DASSAULT Aviation
DASSAULT Aviation

Annoncé en 1983 durant le Salon du Bourget, le Falcon 900, dérivé du triréacteur Falcon 50, a pour objectif de proposer sur le marché un avion intercontinental avec une cabine beaucoup plus vaste pouvant transporter jusqu'à 14 passagers.

Le Falcon 900 effectue son premier vol à Mérignac, le 21 septembre 1984

DASSAULT Aviation
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Le judo

Publié le par Baldenberger

Le judo

Le judo, dont le mot signifie “la voie de la souplesse”, est un art martial japonais fondé en 1882 par Jigoro Kano. Ce sport de combat se distingue par l’utilisation des techniques de projection et d’immobilisation plutôt que des frappes, faisant de lui une discipline exigeante physiquement et moralement.

Dans un dojo, où le judo se pratique pieds nus sur des tatamis, les pratiquants apprennent à respecter les règles et les valeurs morales de cet art martial. Plus qu’une simple activité physique, le judo est une philosophie prônant la coopération, le respect et l’efficacité maximale avec un effort minimal, symbolisant ainsi les principes fondateurs d’une vie équilibrée.

Le judo
Le judo
Le judo
Le judo
Le judo
Le judo
Le judo
Le judo
Le judo
Le judo

Avec l’introduction du judo au programme des Jeux Olympiques de Tokyo en 1964, il devient un sport olympique à part entière. Les premières compétitions internationales ont été marquées par des figures emblématiques comme David Douillet, contribuant à populariser les arts martiaux japonais à travers le monde.

Le judo
Le judo
Le judo
Le judo
Le judo
Le judo
Le judo

Dans le judo, les ceintures permettent de distinguer le niveau des pratiquants, de novice à maître. Chaque couleur, du blanc au noir, représente une étape dans la maîtrise des techniques et des valeurs du judo. La ceinture noire, ou dan, symbolise une compréhension approfondie des principes du judo.

Les ceintures dites supérieures sont non seulement des marques de compétence technique mais aussi de maturité morale. Elles facilitent la distinction entre les combattants dans les compétitions, où le respect des règles est primordial. Chaque judoka, qu’il soit débutant ou avancé, aspire à progresser tout en respectant les valeurs fondamentales de cet art martial.

Le judo
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Les Zeppelins

Publié le par Baldenberger

Un Zeppelin est un aérostat de type dirigeable rigide, de fabrication allemande ; dans la langue usuelle, le mot « Zeppelin » peut désigner, par extension, n’importe quel type de ballon dirigeable. C'est le comte allemand Ferdinand von Zeppelin qui en commence la construction à la fin du XIXe siècle.

Au sens strict, ce nom commun ne désigne initialement que les dirigeables rigides allemands.

Les Zeppelins
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Les Zeppelins
Les Zeppelins
Les Zeppelins
Les Zeppelins
Les Zeppelins

Le comte semble s'intéresser à la construction d'un ballon dirigeable à l'issue de la guerre franco-allemande de 1870, après avoir été témoin de l'utilisation par les Français de ballons pendant le siège de Paris. Il voit aussi l'utilisation militaire de ce type d'aéronef en 1863 pendant la guerre de Sécession à laquelle il participe comme observateur militaire du côté de l'Union.

Il développe sérieusement son projet après sa retraite anticipée de l'armée en 1890, à l'âge de 52 ans. Le , il dépose une demande de brevet incluant les principales caractéristiques du futur engin, même si toutes ne seront pas retenues au stade de la construction.

  • un squelette rigide en aluminium d'une forme mince, fabriqué par l'entreprise de Gustav Selve à Altona, fait de poutres en anneaux et en long ;
  • l'espace pour le gaz contenu dans de nombreuses cellules cylindriques ;
  • la possibilité de naviguer en utilisant des ailerons pour le gouvernail et la profondeur (hauteur) ;
  • deux nacelles séparées reliées rigidement au squelette ;
  • des hélices montées à la hauteur de la résistance maximum de l'air ;
  • la possibilité de joindre plusieurs aéronefs en convoi.
Les Zeppelins
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La construction du premier dirigeable Zeppelin commence en 1899 dans un hangar d'assemblage flottant sur le lac de Constance dans la baie de Manzell à Friedrichshafen. Le lieu est choisi pour faciliter la difficile procédure du départ, car le hangar pouvait facilement être placé face au vent.

Le prototype dirigeable LZ 1 (LZ pour « Luftschiff Zeppelin ») avait une longueur de 128 m, était doté de deux moteurs de 14,2 ch Daimler et conservait son équilibre en déplaçant un poids entre ses deux nacelles.

Le premier vol d'un Zeppelin intervient le . Au bout de 18 minutes, le LZ 1 est forcé de se poser sur le lac après que le mécanisme qui permet d'équilibrer le poids se soit cassé. 

La réparation effectuée, la technologie démontre son potentiel dans les vols suivants en portant à 9 m/s (32,4 km/h) le record de vitesse de 6 m/s (21,6 km/h) de l'aéronef français La France, mais ne parvient pas à convaincre un investisseur potentiel. Ayant épuisé ses ressources financières, le comte est forcé de démonter le prototype et de dissoudre la société.

Les Zeppelins
Les Zeppelins

L'entreprise numérotait les dirigeables « LZ » suivi d'un nombre, « LZ » signifiant Luftschiff Zeppelin, soit « Dirigeable Zeppelin », du nom du fondateur de la firme Ferdinand von Zeppelin. 

Les aéronefs utilisés à des fins civiles ont généralement un nom de baptême, alors que les dirigeables militaires n'ont souvent qu'un numéro opérationnel pour les désigner.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_Zeppelins

 

Les Zeppelins
Les Zeppelins
Les Zeppelins

Le 24 juillet 1931, 45 personnes, principalement des scientifiques d’Allemagne et de Russie. ont embarqué embarqué à bord du Graf Zeppelin pour un voyage dans l’Arctique.

Les Zeppelins

Publié dans Transports

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purpuricenus kaehleri

Publié le par Baldenberger

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Maurice RAVEL

Publié le par Baldenberger

Maurice RAVEL
Maurice RAVEL
Maurice RAVEL
Maurice RAVEL

Je suis né le 7 mars 1875 à Ciboure, dans les Basses-Pyrénées (actuel département des Pyrénées-Atlantiques). 

Mon père est Pierre-Joseph Ravel, ingénieur, et  ma mère Marie Delouart, femme au foyer.

Je découvre la vie parisienne dès ma naissance, mes parents ayant pris la décision  de s’installer à Paris. C’est là, au cœur de la capitale, que je m’initie à l’art sous diverses formes, et à la musique en particulier. Je profite  d’une enfance heureuse, bercé dans un univers où l’art occupe une part importante. 

A 6 ans, j'étudie le piano. A 12 ans, je parfais ma formation avec des cours de composition. A 14 ans, je fait mon entrée au Conservatoire de Paris, où je deviens l’élève de Charles de Bériot et l’ami proche de Ricardo Viñes. ma passion pour la musique et mon goût pour la littérature (Mallarmé, Baudelaire, Edgar Allan Poe) me conduisent à affirmer mon caractère, ma personnalité, mon indépendance, et à affiner on esprit musical.

Je livre mes premières compositions magistrales comme la célèbre Pavane pour une infante défunte en 1899.

Boudé par les responsables du prix de Rome, je poursuis malgré tout sur ma lancée avec quelques chefs-d’œuvre musicaux qui m’amènent à être comparé à mon contemporain Claude Debussy. 

En 1909, je m’attelle au ballet Daphné et Chloé, auquel je consacre trois années de ma vie, l'œuvre la plus longue (70 minutes). 

Quand éclate la Première Guerre mondiale, j' entends prendre les armes pour défendre la nation. Je parviens, après de multiples démarches (j'avais été exempté de service militaire, puis refusé au sein de l’armée pour mon poids trop léger), à participer au conflit en tant que conducteur d’un camion militaire. En 1917, après une opération subie quelques mois plus tôt, je suis démobilisé.

Au lendemain de l’Armistice, je participe au virage néo-classique pris par la musique européenne. Après la mort de Claude Debussy en 1918, je deviens le plus célèbre compositeur français vivant, et je reçois de multiples distinctions. 

Dix ans plus tard, j'effectue aux Etats-Unis et au Canada une tournée, qui participe à accroître encore davantage ma notoriété. A New York, je m’imprègne de l’univers jazz avant de revenir en France pour livrer le fameux Boléro

Au début des années 1930, je synthétise enfin mon talent artistique en deux œuvres, Concerto pour la main gauche et Concerto en sol, avant de sombrer dans la maladie. 

Je décède à Paris le 28 décembre 1937 des suites d’une intervention chirurgicale au cerveau.

Maurice RAVEL
Maurice RAVEL
Maurice RAVEL

Maurice Ravel en 5 compositions

  • Boléro : c’est l’œuvre la plus connue de Maurice Ravel. Pourtant, de l’aveu du principal intéressé, ce ballet créé à Paris en novembre 1928 n’aurait dû être considéré que comme une expérience d’orchestration. Maurice Ravel lui-même s’est ainsi étonné de son succès international.
  • Concerto en sol : composé en janvier 1932, le Concerto en sol est l’une des dernières œuvres magistrales de Maurice Ravel. Basé sur un mouvement lent, le Concerto en sol est une réponse contrastée au non moins célèbre Concerto pour la main gauche composé à la même période.
  • Pavane pour une infante défunte : composée en 1899, cette pièce pour piano est dédiée à la princesse de Polignac. Elle sera orchestrée par Maurice Ravel en 1910 dans un esprit de douceur et de mélancolie.
  • Daphnis et Chloé : parmi les œuvres les plus célèbres de Maurice Ravel, Daphnis et Chloé répond à une commande du Russe Serge de Diaghilev. Il faudra trois années à Maurice Ravel, de 1909 à 1912, pour en livrer le résultat final.
  • Tableaux d’une exposition : à l’origine, l’œuvre est le fruit du compositeur russe Modeste Moussorgski, dévoilée en 1874. Maurice Ravel en livrera, en 1922, une orchestration symphonique qui participera à sa mise en lumière aux quatre coins du monde.
Maurice RAVEL
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Hans GRADE

Publié le par Baldenberger

Hans GRADEHans GRADE

Hans Grade est un pionnier de l'aviation allemand né le à Köslin et mort le à Borkheide. 

Le , il réalise avec succès le premier vol motorisé au-dessus du sol allemand à bord d'un triplan de sa fabrication

Hans GRADE

Je nais le 17 mai 1879 à Köslin ; mon père était professeur du séminaire local.

Je fréquente le lycée de ma ville natale, puis j'étudie le génie mécanique et électrique à l'Université technique de Charlottenburg.

Je construisis ma première moto en 1903.

A 25 ans, avec mon esprit brillant et ma nature audacieuse, j'ose fonder en 1905 à Magdebourg la « Grade-Motorenwerke », que je ne pus gérer que jusqu'en 1907, car je devais alors remplir mon obligation militaire.

J'ai  servi de 1907 à 1908 dans le bataillon des pionniers à Magdebourg. Durant cette période, mes plans pour une machine volante mûrissent et je commence à la construire avant ma démobilisation à l'automne 1908. Il s'agit du premier engin volant allemand à avoir été construit et je décolle le 2 novembre 1908, volant à 60 mètres à une hauteur de huit mètres. Ce deltaplane d'apparence extrêmement primitive avait le siège du pilote directement au-dessus du châssis et le moteur directement au-dessus du siège du pilote. 

Jusqu'en mai 1909, j'effectuerai environ 70 vols avec cet avion sur le site, avec une longueur de vol maximale d'environ 700 m, relayé par la presse spécialisée internationale.

Hans GRADE
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Le 14 août 1909, je déménage mon atelier à Bork, (Borkheide). Trois jours après, le 17 août 1909, j'effectue mon premier vol à Bork avec le monoplan « Libelle », développé à Magdebourg.

Alors que je tentais de remporter le « Prix Lanz du Ciel » offert par un industriel de Mannheim, je m'écrasai dans une forêt de pins le 26 septembre 1909 lorsque l'hélice se brisa. Malgré l'incident, indemne, je remportais le prix d'une valeur de 40 000 marks le 30 octobre 1909 à l'aérodrome de Johannisthal.

J'ai ensuite effectué des vols de démonstration à Hambourg, Brême, Breslau et Magdebourg. 

En 1909, grâce aux récompenses, je construis une usine d'avions, la Grade Fliegerwerke, à Bork et je fonde la première école de pilotage en Allemagne en 1910.

Les deux furent en activité jusqu'en 1914.

80 avions ont été construits et environ 130 étudiants ont été formés.

Je fus l'un des premiers pilotes d'avion à moteur allemands. Mon brevet de pilote daté du 1er février 1910, délivré par l’Association des dirigeables de Berlin, porte le numéro 2.

 
 
Hans GRADE
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Hans GRADE
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Hans GRADE

Je suis resté fidèle à mon modèle d'avion de sport léger, peu coûteux et facile à réparer ainsi qu'à son moteur à deux temps.

Je n'ai jamais construit d'avions militaires ; pendant la guerre de 1914/18, je n'ai effectué que des réparations. Fin 1916, l'Aviatikflugzeug-Werke reprit l'exploitation.

Après 1919, je commençai à construire des automobiles, mais l'usine fut victime des années difficiles autour de 1928. 

Là encore, la petite voiture  présentait mes propres idées originales telles qu'une transmission à friction à variation continue et un moteur à deux temps Grade. Après 1928, je me consacre à diverses tâches d'ingénierie dans mon usine de Bork.

 
 
Hans GRADE

Dans les années 1930, j'ai essayé sans succès de développer un nouvel avion populaire. En 1934, j'accepte des contrats de recherche avec l'industrie. En 1937, je joue mon propre rôle dans  le film « Cible dans les nuages ​​» , tourné à Borkheide.

Après la Seconde Guerre mondiale, je fus temporairement exproprié, mais j'ai pu récupérer tous mes biens quelques années après.

Je m'éteins le 22 octobre 1946 à Borkheide.

Hans GRADE

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Maisy (Mimi la souris)

Publié le par Baldenberger

Maisy (Mimi la souris)
Maisy (Mimi la souris)
Maisy (Mimi la souris)

Mimi la souris (Maisy Mouse) est une souris créée par l'illustratrice britannique Lucy Cousins

Mimi la souris est un adorable petit rongeur. Entourée de ses amis, elle sait se débrouiller face aux épreuves et ne recule pas devant les difficultés, ce qui la rend davantage attachante et mignonne. 

Maisy (Mimi la souris)

Publié dans patrimoine

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SWISSair

Publié le par Baldenberger

SWISSair
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Swissair était la compagnie aérienne nationale suisse. Elle a été fondée en 1931 par Balz Zimmermann et par le pionnier de l’aviation Walter Mittelholzer.

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Swissair commanda un Ju-86 (HB-IXI), qui s'écrasa dans les premiers mois d'exploitation et fut ensuite réparé par Junkers.

Swissair utilisa également le Ju-86 pour assurer le service postal de nuit entre Zurich et Francfort sur une route montagneuse ne nécessitant pas un appareil aussi gros que le DC-2.

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En mai 1947, un DC-4 de Swissair assurait la première liaison Genève – New York.

SWISSair
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En 1960, le premier avion à réaction est mis en service, en 1971 le premier Boeing 747.

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Avec un réseau articulé autour des deux hubs de Zürich (Suisse allemande) et Genève (Suisse romande), Swissair est considérée en Suisse comme un symbole de l'unité nationale

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En 1968, l'aérogare de Genève (Genève-Cointrin) datant de 1920 est rénovée.

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Le 30 mai 1987 était inaugurée la liaison Cornavin – Aéroport, le plus gros chantier ferroviaire à Genève.

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Le , la compagnie n'est plus en mesure de payer ses factures, les vols sont suspendus et l'ensemble de la flotte reste au sol. La compagnie ne se remet pas de cette débâcle et disparaît définitivement le .

En 2002, Swiss International Air Lines est créé.

SWISSair
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