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Cephalanthère (Cephalantera rubra)

Publié le par Baldenberger

Publié dans herbier philatélique

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Alberto GIACOMETTI

Publié le par Baldenberger

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Au gui l'an neuf !

Publié le par Baldenberger

Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !

L'habitude d'accrocher du gui à l'entrée du foyer provient des celtes.

L'expression celte "o ghel an heu" (que le blé germe) est devenue "au gui l'an neuf" pour se souhaiter la bonne année.

Des "kissing ball", boules de gui expressément destinées au baiser, ont été observés en Angleterre dès le 18e siècle. La coutume du baiser sous le gui est aujourd'hui plus spécialement liée aux fêtes de fin d'année.

On accroche le gui pour le Nouvel An, ou pour toute la durée des fêtes. Certains décrochent une baie à chaque baiser, la boule restant en place jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de gui.

Le baiser sous le gui reste en tout cas une bien poétique manière de se souhaiter une bonne année et une bonne santé !

Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !
Au gui l'an neuf !

Publié dans Coutumes de Noël

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Bonne Année

Publié le par Baldenberger

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Roger BISSIERE

Publié le par Baldenberger

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Le bugle

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Publié dans herbier philatélique

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Céleri-rave

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Le sceau de Salomon

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Les érables

Publié le par Baldenberger

E comme..... ERABLE
Les érables
Les érables
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Les érables
Les érables
Les érables
Les érables
Les érables
Les érables
Les érables
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Les érables
Les érables
Les érables
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Les érables
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Les érablesLes érables
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Les érablesLes érables
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Erable Negunda

Les érables
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Roald DAHL

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Roald DAHL
Roald DAHLRoald DAHL
Roald DAHLRoald DAHL
Roald DAHL
Roald DAHLRoald DAHL
Roald DAHL
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Roald DAHL
Roald DAHL
Roald DAHL
Roald DAHL
Roald DAHLRoald DAHL
Roald DAHLRoald DAHL
Roald DAHL
Roald DAHL
Roald DAHL

Je suis d’origine norvégienne, mais je suis né au pays de Galles le 13 septembre 1916.

 

Malgré la mort prématurée de mon père et les mauvais souvenirs des pensionnats, je connais une enfance heureuse et aisée.

 

À dix-sept ans, je rêve d'aventure : je pars pour Terre-Neuve, puis je deviens pilote de chasse dans la Royal Air Force pendant la Seconde Guerre mondiale.

 

C. S. Forrester un auteur, m’encourage à à écrire des nouvelles pour adultes.

 

En 1961, je me lance dans la littérature pour la jeunesse avec «James et la grosse pêche», imaginé pour mes cinq enfants, à qui je raconte chaque soir une nouvelle histoire.

 

Le succès arrive avec «Charlie et la chocolaterie» et, dès lors, je continuerai à signer des livres qui donnent envie de lire à des millions d'enfants.

 

« À mes yeux, le jeune lectorat est le public le plus exigeant. J'essaie d'écrire des histoires qui les saisissent à la gorge, des histoires qu'on ne peut pas lâcher. Car si un enfant apprend très jeune à aimer les livres, il a un immense avantage dans la vie.Il faut pour cela «avoir préservé deux caractéristiques fondamentales de ses huit ans: la curiosité et l'imagination»

 

Je décède le 23 novembre 1990 à Oxford.

 

. En 2005, la Grande-Bretagne me rend hommage en inaugurant The Roald Dahl Museum et en instaurant une «journée Roald Dahl» le 13 septembre, jour de ma naissance. Une série de timbre commémoratifs permet aussi de diffuser ce message.

 

«Le Bon Gros Géant» a été adapté au cinéma par Steven Spielberg.

Publié dans TROMBINOSCOPE

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