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trombinoscope

Martin LUTHER KING

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Pierre LOTI

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Pierre LOTI
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Pierre LOTI

Je suis né Julien Viaud, à Rochefort le 14 janvier 1850 dans une famille modeste.

En 1865, je m’inscris en classe préparatoire à Paris, et j’entre à l'École navale en 1867.

Je deviens officier de marine, et je découvre l'Algérie, l'Amérique du Sud, puis l'île de Pâques et Tahiti en 1871. C'est à Tahiti que la reine Pomaré me surnomme Loti, nom d'une fleur tropicale.

En 1877, je découvre la Turquie, et je tire un premier texte des notes de mon journal, Aziyadé, publié en 1879 sans nom d'auteur. La suite, Fantôme d'Orient, est publiée en 1892.

En 1881, je publie mon premier roman signé du pseudonyme Pierre Loti, Le Roman d'un Spahi, inspiré de mon voyage au Sénégal.

De mon séjour à Tahiti, je tire Le Mariage de Loti publié en 1878, et qui me rend célèbre. Suit Mon frère Yves, publié en 1883. Je connais un grand succès avec Pêcheurs d'Islande (1886), tout comme avec Madame Chrysanthème (1887).

L’Académie française me consacre en 1891. Je publie, cette même année, un ouvrage autobiographique, "Le Livre de la pitié et de la mort". Très attaché au Pays basque, Je m'en inspire et publie Ramuntcho en 1897. Avec Les Désenchantées (1906), je connais aussi un autre grand succès. 

Je prends sa retraite militaire dans les années 1910 et continue à écrire.

Je meurs le 10 juin 1923 à Hendaye.

Pierre LOTI
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Nicolas COPERNIC

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Blaise PASCAL

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Blaise PASCAL
Blaise PASCAL
Blaise PASCAL
Blaise PASCAL
Blaise PASCAL

Je suis né le 19 juin 1623 dans l'actuelle ville de Clermont-Ferrand.

Je montre rapidement des facultés pour l'étude des sciences.

Mon père me qualifierait d’« enfant précoce » et il me fait interrompre mes études : âgé de 16 ans, je rédige un "Traité des sections coniques" prometteur qui attire l'attention de René Descartes. À 19 ans, je crée une machine à calculer capable d'automatiser les additions et les soustractions. Je la nomme dans un premier temps "machine arithmétique" avant de lui donner le nom de "pascaline". J’en confectionne plusieurs exemplaires, dont certains sont aujourd'hui exposés au musée de Clermont-Ferrand et au musée des Arts et des Métiers à Paris. En 1654, je mets au point une résolution du problème des partis, une méthode dont vont s'inspirer les sciences économiques et sociales modernes. Mes autres inventions incluent la presse hydraulique, la brouette, la vinaigrette (voiture à porteur) et le haquet. 

Le duc de Roannez fait même appel à moi pour participer aux travaux d'assèchement du marais poitevin et à l'installation d'une ligne de transports en commun : sur ma proposition le 18 mars 1662, un système de transport en commun est élaboré à Paris. Sept carrosses publics sont mis en service entre la Porte Saint-Antoine et le Luxembourg. La course coûte 5 sols.

Je suis également écrivain-philosophe. Lorsque je publie en janvier 1656 "Les Lettres provinciales", je cherche à défendre mon ami Antoine Arnauld, un janséniste condamné par la Sorbonne pour ses opinions jugées hérétiques. Sous le pseudonyme de Louis de Montalte, je publie dix-huit lettres qui s'adressent aux Pères jésuites, et dont la première est datée du 23 janvier 1656. La controverse naît entre la vision catholique de l'homme guidé par Dieu et sur le libre-arbitre défendu par les jansénistes. Je débute les "Pensées" dont le titre d'origine était "Apologie de la religion chrétienne", visant à défendre la foi chrétienne. j’ y aborde de nombreux paradoxes philosophiques tels que l'infini et le néant, la raison et la foi, la vie et la mort, l'âme et la matière...

Dans le domaine des mathématiques, j’ai fait des travaux importants sur les probabilités. En 1659, je publie le « Traité de la roulette », un grand ouvrage sur les indivisibles.

Je m’éteins le 19 août 1662 à l’âge de trente neuf ans et laisse inachevée mon œuvre philosophique la plus importante : les "Pensées".

Blaise PASCAL
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Pierre de COUBERTIN

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Pierre de COUBERTIN
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Pierre de COUBERTIN

Pierre de Coubertin né Charles Pierre Fredy, baron de Coubertin voit le jour le 1er janvier 1863 à Paris au sein d'une famille d'aristocrates.

Adolescent, il suit des études dans une école jésuite où il commence à s'intéresser aux sciences politiques. En 1880, alors qu'il obtient son baccalauréat, il décide de se détourner de la carrière militaire à laquelle il se destinait initialement. Il intègre l'École libre des sciences politiques et décroche un diplôme de droit en 1885.

Parallèlement, Pierre de Coubertin effectue des visites dans des universités britanniques et américaines. Là-bas, il se passionne pour les sports anglo-saxons et porte son attention sur le domaine de l'éducation. Séduit par le système éducatif anglais où le sport tient une place importante, Coubertin développe l'idée d'adapter le même modèle en France.

De retour de son séjour en 1887, il lance un vaste mouvement de réforme pédagogique visant à développer les activités physiques dans le système éducatif français. Multipliant les publications, il écrit des articles prônant la mise en place de l'éducation sportive dans les formations traditionnelles et crée plusieurs associations.

Coubertin qui milite également pour l'internationalisation du sport, évoque pour la première fois son idée de réorganiser les Jeux Olympiques en 1892. À force de persévérance, il y parvient et les restaure officiellement le 23 juin 1894. La même année, il fonde le Comité international olympique (CIO), qu'il préside jusqu'en 1925.

Le 6 avril 1896, s'ouvrent à Athènes les premiers Jeux olympiques de l'ère moderne. Les années suivantes, le caractère affirmé de Coubertin lui vaut de nombreuses inimitiés qui l'isolent. En 1936, son implication controversée dans le suivi des Jeux olympiques de Berlin, alors sous le contrôle de l'Allemagne nazie affecte également sa réputation. Victime d'une crise cardiaque,

Pierre de Coubertin meurt le 2 septembre 1937 à Genève en Suisse. Conformément à ses dernières volontés, son cœur fut inhumé près du sanctuaire d'Olympie en Grèce.

Pierre de COUBERTIN
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Pierre de COUBERTIN
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L’histoire est peu connue. Pierre de Coubertin, né en plein Paris, avait ses quartiers d’été en Alsace.

Le 11 mars 1895, le fondateur des Jeux olympiques, dans sa version moderne, se marie avec Christa Anna Marie Rothan, une Alsacienne. Alors, dès que le temps est au beau, il vient travailler à ses écrits au château de la belle-famille, à Luttenbach.

Après le decès de son beau-père, Jean Georges Gustave Rothan en 1890, le domaine passe aux mains de son gendre, le baron Pierre de Coubertin qui a épousé Marie Rothan.

Endommagé au cours de la Première Guerre mondiale, le château n'est pas réhabilité.

Il reste, aujourd’hui encore, un pan de mur, un porche en grès, une fontaine italienne du XVIII e siècle. Le parc est devenu un camping des Amis de la Nature en 1956.

Une plaque rappelle les séjours de Pierre de Coubertin à Luttenbach, de 1896 à 1914, elle a été posée près du portail extérieur.

Pierre de COUBERTIN
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Georges SIMENON

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Georges SIMENON
Georges SIMENON
Georges SIMENON

Je suis né le 13 février 1903 à Liège (Belgique), où je passe mon enfance.

Même si je fais preuve très tôt de fortes capacités intellectuelles à l'école je décide d'abandonner mes études à l'âge de quinze ans.

Après une expérience journalistique en Belgique, je me rends à Paris où je côtoie le milieu littéraire, qui me donne la passion de l'écriture.

Dès lors, à partir de 1924, je me lance dans la rédaction d'une multitude de romans populaires paraissant sous divers pseudonymes.

Ce n'est qu'à l'âge de 28 ans que je me décide à signer de mon vrai nom l'un de mes ouvrages : il s'agit du roman policier Pietr le Letton, dans lequel apparaît pour la première fois le personnage de Maigret. Les enquêtes se déroulent au cœur de la France des années 1930, jusqu’à la période des années 1960. Maigret est un personnage nouveau au travers duquel le monde de l’enquête criminelle  est perçu de manière inédite. Calme, patient et réfléchi, Maigret va devenir l’un des plus célèbres commissaires de fiction.

Je multiplie les publications de romans. Fort du succès du cycle des Maigret, j’ entre aux éditions Gallimard en 1935. Je me tourne alors vers des réalisations plus psychologiques, telles que les Fiançailles de M. Hire ou l'Aîné des Ferchaux.

En novembre 1945, à la faveur d'un séjour aux Etats-Unis où je clarifie ma vie, je publie Je me souviens et Pedigree, deux oeuvres autobiographiques.

En 1952, je suis reçu à l’Académie royale de Belgique et je reviens définitivement en Europe le 18 mars 1955. Après une période mouvementée sur la Côte d’Azur à côtoyer la jet-set, je finis par m’installer en Suisse.

 

À l'aube du 4 septembre 1989, âgé de quatre-vingt-six ans, je m'éteins à mon domicile lausannois.

Georges SIMENON
Georges SIMENON
Georges SIMENON
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Raymond DEVOS

Publié le par Baldenberger

Raymond DEVOS
Raymond DEVOS
Raymond DEVOS

Je suis né le 9 novembre 1922 en Belgique.

En raison des problèmes financiers de sa famille, je suis contraint d'arrêter mes études dès l'âge de 13 ans et je commence ma carrière en enchaînant les petits boulots.

Pendant la guerre, j’ai été déporté en Allemagne dans le cadre du STO (Service du Travail Obligatoire) puis à la fin de la guerre, je reviens en France.

Je suis alors des cours de mime à l'école d'Etienne Decroux, où je rencontre le mime Marceau.

Je prends aussi des cours de théâtre. En jouant mes premières pièces, je commence aussi à écrire mes premiers sketchs.

Je suis repéré par  Maurice Chevalier qui m'invite à assurer sa première partie à l'Alhambra. C'est le début de la consécration.

Je me produit ensuite dans de très nombreuses salles. Mes spectacles, mêlent sketchs, mimes, jonglage, musique ou magie, et me rendent très populaire.

Régulièrement invité à la télévision, je suis aussi très présent au cinéma. A la fin des années 1950 et dans les années 1960, je joue dans plusieurs films comme "Vous n'avez rien à déclarer ?" ou "Pierrot le fou". En 1972, j’écris le scénario de "La raison du plus fou", film réalisé par  François Reichenbach..

Je publie également plusieurs romans entre 2002 et 2005 aux éditions du Cherche-Midi.

En 2005, je suis victime d'une attaque cérébrale. Je décède l'année suivante le 15juin 2006 d'un œdème aigu du poumon.

Tout au long de ma carrière, j’ai reçu de nombreux prix, notamment le Molière du meilleur one-man-show en 1989 ou le Grand Prix de l'humour de la Sacem en 2001.

 

Raymond DEVOS

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Marcel PROUST

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Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon

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Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon
Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon

Je suis né à le 7 septembre 1707 à Montbard, dans une riche famille de la noblesse de robe.

Je fais des études secondaires dans un collège de jésuites.

J’ étudie le droit à l’Université de Dijon et, la médecine, la botanique et les mathématiques à Angers.

En 1734, j’ entre à l’Académie des sciences comme « adjoint- mécanicien ». Je m’intéresse à tous les domaines de la nature : botanique, biologie, chimie, géologie, et j’utilise les mathématiques comme un outil.

J’ effectue des recherches sur les organes reproducteurs des animaux.

Je suis nommé « Intendant des Jardins du Roi » en 1739 ; je vais agrandir ce jardin et en enrichir sans cesse les collections, tout en travaillant à mon « Histoire naturelle ».

Dès la parution des trois premiers volumes (1749), je connais la gloire. Trente-six volumes seront publiés de mon vivant (1749-1785) et huit autres après ma mort L’Académie française m’ ouvre ses portes en 1753 et je serai membre de toutes les grandes académies européennes.

Je ne me contente pas de décrire les espèces, mais je note systématiquement pour chaque individu son environnement, son histoire, ses moeurs. De mon vivant, on érigea même ma statue à l'entrée du Muséum.

Âgé de plus de soixante ans et aidé par les conseils de maîtres de forge réputés, je développe entre 1768 et 1772, ma propre forge, reçue en héritage de ma mère.

 

Je meurs le 16 avril 1788 à Paris. à l’âge de quatre-vingt-un ans, un an avant la convocation des états-généraux.

Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon
Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon
Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon
Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon
Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon
Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon
Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon
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Charles PERRAULT

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